mercredi 8 juillet 2015

L'Apparatair, ou le Subaquatrek facile :-)

Le nouveau masque de randonnée aquatique de Tribord, appelé "Easybreath", est une véritable et très belle innovation.
Il fonctionne bien et reste assez confortable pour permettre à beaucoup d'entre nous qui étaient réfractaires au système masque+tuba de pouvoir goûter aux joies du "snorkeling" (ou "snorkelling" si vous êtes plus royalistes).
Pour ceux qui se posent la question : c'est un combiné de masque et tuba intégral - qui recouvre tout le visage - qui permet donc de respirer avec le nez comme avec la bouche, mais sous l'eau (en surface, ce n'est pas un appareil de plongée).

Une sensation vraiment nouvelle, qui affranchit de l'inconfort d'avoir à respirer uniquement avec la bouche en y supportant un appareillage en caoutchouc encombrant !
Personnellement je l'ai découvert et apprécié à l'occasion d'un problème de santé qui m'a interdit de pagayer : la randonnée palmée me permet de continuer à pratiquer un sport relativement complet et doux sans la nécessité de solliciter mes épaules.
L'Easybreath m'a permis de nager sur la durée dans le confort et la bonne humeur :-)

L'invention dont je souhaite vous parler ici est beaucoup plus modeste :
il s'agit d'un simple appareillage respiratoire avec tuba, qui recouvre seulement la bouche et le nez et permet de respirer avec l'un comme l'autre.

L'Apparatair s'utilisera avec des lunettes de natation simples, qui laissent donc le nez et la bouche libres pour lui.

Facile à transporter, agréable à utiliser, simple à nettoyer et bon marché.

À suivre...

mardi 30 juin 2015

Stand-Up-Flipper : palmer debout !

Pour rester informés de l'évolution de cette idée : www.stand-up-flipper.com

Les travaux sur l'Aquabeo allant bon train mais nécessitant la construction d'un prototype somme toute assez complexe (la simplicité c'est bien connu est très compliquée à obtenir), je me suis dit dans un premier temps qu'il serait intéressant de pouvoir utiliser des planches de SUP comme flotteurs pour ce petit catamaran.

Puis comme toute idée fait son chemin, j'ai pensé que ce serait intéressant de pouvoir n'utiliser qu'une seule planche de SUP. 
Et dans ce cas évidemment le système original de l'Aquabeo se devait d'être remplacé par autre chose.

Le Stand Up Flipper (SUF) sera un système lui aussi très simple, adaptable sur tous les flotteurs de Stand Up Paddle (SUP) rigides comme gonflables, qui permettra avec deux grands leviers d'actionner des palmes pour propulser l'engin.

À suivre...

samedi 27 juin 2015

Gliderair : augmentation de la glisse, plan antidérive, limitation de l'effet de row, amélioration de l'ergonomie, et au-delà !


Ce billet pour vous informer de mes dernières idées en cours de réalisation : comme vous le savez si vous avez suivi les travaux du nauticaerium depuis le début, mes discussions sur les différents forums et autres moyens de communication d'une modernité à faire pâlir les astronautes qui ont marché sur la Lune il y a déjà de cela bien longtemps,
je pense que le fait de tapisser une carène de bulles d'air permet d'en réduire la surface mouillée sans réduire sa flottabilité, et conséquemment d'en augmenter la glisse.

Un autre effet positif de cette idée, c'est la création de quantités de "mini-vortex" qui faciliteront l'évacuation et la dissipation des vortex parasites de la traînée du sillage.

D'autre part mes travaux sur la Velanavis et la Velalae montrent qu'un plan antidérive sur l'avant de l'engin peut augmenter le pouvoir antidérive de la combinaison de la pagaie et de l'aileron arrière pendant la navigation à voile, et par la même occasion permettre de limiter sensiblement l'effet de row pendant la rame (petit rappel : l'effet de row, c'est la dérive de l'avant dans la direction opposée du coup de pagaie) si tant est que ce plan antidérive supplémentaire n'augmente pas la traînée !

Tout ceci m'a amené à concevoir des ailerons très spéciaux placés sous l'avant et capables, tout en offrant un plan antidérive avec une traînée minimale, de récupérer de l'air et d'en créer une émulsion qui tapisse le dessous de carène afin d'en augmenter dynamiquement son pouvoir glissant.

La question était aussi de savoir comment fixer ces nouveaux appendices.
Je n'ai pas retenu la solution du collage car je souhaite que ce que j'appellerai désormais le système "Gliderair" (de 'glider'=planneur et 'air'=air :-) ) puisse se monter et se démonter aussi bien sur les flotteurs de SUP rigides que gonflables, sans nécessiter de transformation.

Enfin, il me fallait un système léger, pratique et sûr pour récupérer l'air en surface et l'amener sous la carène.

Les ailerons du Gliderair seront disposés sur une sangle qui fera le tour du nez de l'engin, et qui viendra se fixer dans la poignée de portage (des rigides comme des gonflables).

Un intérêt collatéral et supplémentaire de ce moyen de fixation sera d'offrir ainsi une possibilité d'accrochage de sacs et autres affaires sur les ponts des engins qui n'ont rien prévu d'origine pour ce faire, comme par exemple les SUP de 'race' et les 'allround'.

Pour vous remercier d'avoir lu et suivi la logique de ce billet jusqu'ici, une vidéo des bulles sous une carène plate pendant la rame. Attention : hypnotique et addictif ! ;-)

À suivre...

jeudi 28 mai 2015

La Velanavis, travail du troisième prototype...

Toutes les nouvelles sur le pointeur www.velanavis.com

Le gréement complet, avec tout le matériel nécessaire "et au delà !".

Notre métier n'est pas facile tous les jours : il faut faire attention aux galets !

La vidéo des derniers rebondissements :

mardi 26 mai 2015

Velanavis, la voile pour naviguer...

Toutes les nouvelles sur le pointeur www.velanavis.com


2,5m² de surface de voilure, il me faut bien le constater et malgré l'optimisation aéronautique de la voile, c'est quand même trop petit pour profiter du moindre souffle de vent léger comme nous avons souvent ici soit entre 2 moments de pétole totale, soit entre deux tempêtes !

Les vidéos des derniers essais de cette version de la Velanavis, qui s'ouvre désormais sur la piste des formes de voilure déjà précédemment envisagées pour la Velalae.
(restez attentifs s'il vous plaît :
la Velanavis est un gréement complet léger embarqué, et
la Velalae sera un gréement complet léger embarqué avec un cerf-volant dont le fil servira à porter la voile, faut-il encore vous le répéter ? ;-) )


mercredi 20 mai 2015

La Velanavis : la première fois du premier prototype

Toutes les nouvelles sur le pointeur www.velanavis.com


La photo et la vidéo montrent le 1er prototype de Velanavis en situation (les performances sont en cours d'amélioration).

On y comprend bien l'esprit de ce gréement rapide et léger pour embarquer et naviguer à bord d'un simple flotteur de SUP :
le gréage comme le dégréage se font directement sur l'eau.

On peut naviguer à toutes les allures d'un voilier classique, c'est à dire qu'on peut aussi remonter le vent.
Le mât peut se fixer sur tous les SUPs (gonflables et rigides) sans aucune transformation.

On commence la session à la pagaie, puis si le vent se lève on peut continuer à la voile, ou vice versa...
Et même alternativement ou le contraire !



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dimanche 10 mai 2015

La Velanavis

Les dernières actualités de ce projet sur le pointeur www.velanavis.com


Le travail sur la Velalae fait son chemin et... donne naissance à quelque sérendipité relative de bon aloi.

Vous voyez sur cette image le gréement complet du premier prototype de la Velanavis, avec son mât de 5 mètres télescopique replié, sa voile à l'allongement aéronautique et tout ce qu'il lui faut pour naviguer à toutes les allures d'un voilier performant.

À suivre...


L'Aquabeo

Pour rester informé des dernières actualités de ce projet consultez l'alias www.aquabeo.com 

Vous connaissez peut-être cet appareil de fitness appelé souvent "Air-Walker", qui consiste en une sorte de portique personnel posé au sol et qui présente deux balanciers pour activer à la fois les bras et les jambes, un peu comme si on marchait en sustentation dans les airs...

L'idée de l'Aquabeo c'est de reprendre ce principe de mouvement fluide et agréable, mais de le transposer sur l'eau et d'utiliser les mouvements simultanés des bras et des jambes pour propulser l'engin.

Imaginez donc deux petits flotteurs style mini-catamaran, sur lesquels serait fixé un petit portique à hauteur de taille avec deux tiges en balanciers sur un axe : la partie haute de la tige qu'on prend en main, la partie passe pour poser le pied. Sur la partie basse un système de pagaie automatique (qui se rétracte et se déploie pour pousser dans le sens de la marche).

Cet engin en flotteurs gonflables et composite époxyde-carbone ne devrait pas peser plus de quelques kilos, et se pliera sans outils en quelques secondes pour être transporté facilement.

À suivre...