samedi 7 octobre 2023

Le RollSlider continue de rouler et de glisser


Après quelques réparations du dernier prototype reçu d’un bureau d’étude avec lequel j’aurais quand même essayé de travailler trois fois - Oh cette fois-ci juste une broutille : les roues ne tournaient pas, et les glissières ne glissaient pas - après quelques menues réparations disais-je, j’ai enfin pu faire mes premiers essais… Enfin... J’ai pu essayer de faire mes premiers essais.


Le concept est bon, ça c’est sûr.

Pour la réalisation… Disons que nous avons encore devant nous une belle marge d’améliorations O:-)

La suite ensuite !





dimanche 6 août 2023

Le WalkieRider, comme le RollSlider, mais pas pareil !

 

Le même principe que pour le RollSlider  : les deux roues arrière, une par plateforme, sont chacune équipées d’un engrenage de roue libre.

Ainsi, chaque roue arrière ne peut rouler que dans le sens de la marche.

Donc si on recule le pied appuyé sur sa plateforme, la roue de cette plateforme reste immobile et c’est l’autre plateforme qui est projetée en avant par le système physique bien connu de “action/réaction”. 

Le corps du rider tout entier travaille simplement au maintien de la direction, à la poussée de l'ensemble, et aux balancements de ses jambes soit au rythme de la marche, soit plus rapidement, à loisir.

Bien sûr dans les descentes le plaisir sera également contemplatif ^^

Par rapport au RollSlider qui produit une glisse rectiligne, ici les plateformes suivent une trajectoire en arc de cercle qui devrait permettre des mouvements supplémentaires dans tout le corps du rider.

Un aperçu en vidéo des mouvements de l’engin  : 


Rappelons que je développe ces engins pour me permettre - moi, un grand garçon de 61 années non sportives - de pratiquer des activités physiques faciles, ludiques, sécurisantes, aux exigences douces mais aux possibilités puissantes à la demande.

La suite ensuite  ! 





mercredi 18 janvier 2023

Le RollSlider, la Preuve de Concept





Il est arrivé, le premier prototype “Preuve de Concept” du RollSlider !

Nous avons bien sûr tous hâte de pouvoir l’essayer, même si d’ores et déjà au montage de l’engin préparatoire aux essais aléatoires nous avons repéré quelques incongruités par rapport à ce que nous avions en tête (nous les _avions_ en tête car quand on a des rêves haut perchés, c’est plus rapide d’y aller avec des _avions_ ;) ).

Bref, la suite ensuite !





dimanche 11 septembre 2022

ScrollRider, WIP & serendipity





C’est quand la sérendipité se mêle de l’affaire qu’on sait qu’on est devenu un inventeur au même niveau que tous nos illustres prédécesseurs…

En effet, c’est presque par hasard que je me suis aperçu que mon invention du ScrollRider fonctionne mieux quand je la prends à l’envers.

Ne riez pas, c’est vrai !

Je m’explique :

J’avais pensé placer les bâtons sur les roues avant, mais à l’essai de ce premier prototype je me suis aperçu que l’angle nécessaire pour freiner ou libérer les roues n’était pas assez naturel, et j’étais vraiment dépité parce que je n’avais pas envisagé ce problème-là.

Puis en réfléchissant en regardant le prototype en question, avec les yeux hagards, avec le teint blafard, et avec le cafard, d’un coup je vois, je constate, je me rappelle que j’avais prévu ce prototype entièrement symétrique pour me permettre des essais de réglages identiques dans tous les sens, et de retourner les ScrollRiders devant/derrière dans le cas d’usures intempestives de ce qui est encore le premier prototype approximatif d’une série qui s’annonce décidément passionnante à suivre. Vous suivez ?

Diantre qu’à cela ne tienne, de devant, les bâtons sont passés derrière (En fait je n’ai même pas démonté quoi que ce soit, j’ai simplement retourné les engins ! ) et là Ô miracle, la position est devenue aussi naturelle que lorsqu’on tient des bâtons de marche nordique ou des bâtons de ski de fond !

Mais fichtre me direz-vous - et vous aurez raison - dans ce cas les bâtons ne pourront alors plus servir de prise de soulèvement de la roue avant pour manœuvrer les engins dans les courbes courtes, non ? … Si ? …

Bigre bien sûr que non, enfin je veux dire si, vous avez raison ! Mais il suffira de prévoir des straps sur la board du côté des roues avant pour y glisser librement les pieds et pouvoir les soulever comme on soulève l’avant des skis de fond. Et hop, le problème est résolu.

« Mais alors ça complique les engins, ce rajout de straps, non ? »

Si on ne voit que ce rajout oui, mais si on considère que la poussée par freinage via les bâtons permet de s’affranchir des systèmes de réglage des pendulums et qu’on en fait la comparaison, on voit vite que le rajout de 2 straps et bien moins compliqué que la fabrication de 8 systèmes de glissière à fixation par serrage de papillons !

La suite ensuite, restez branchés, vous ne risquez rien, tout ceci se fait sans électricité !




Aparté :

Merci à la société UNYS d’avoir accepté de me fabriquer ce prototype de preuve de concept directement à partir de ma propre conception 3D, en m’indiquant quelques petites erreurs que j’ai pu faire, et en les corrigeant aussi promptement qu’un système informatique en console(*).

(*) Blaguounette de geek(**)

(**) selon l’acception de ce mot dans les années 90, pas celle qui parle des kékés gamers qui ont encore du lait qui leur coule du nez, celle qui parle des développeurs, des programmeurs, des vrais, des pas (encore) tatoués, des tous blancs bronzés aux néons, des physiques de nounours suite aux longues heures assis devant les écrans cathodiques des Personal Computers de l’époque. Je le sais bien, mais depuis j’ai un peu maigri.





mercredi 20 juillet 2022

Le ScrollRider, la propulsion par pendulum

 


De “to scroll”  : « faire défiler » (les paysages, les routes, les forêts…)
et “rider”  : « promeneur » (qui peut aussi être un meneur pro ;)

Le ScrollRider vient de mes travaux sur le RollSlider, qui m’ont amené à créer sur le même principe de « propulsion par pendulum » un dispositif plus léger, tout aussi adapté aux plus sportifs qu’aux moins physiques, et plus facile à transporter.

Il en résulte deux “boards” indépendantes, une pour chaque jambe, qui permettent par un simple mouvement de glissement d’un pied puis de l’autre et ainsi de suite (comme en ski de fond sur le plat lorsqu’il suffit de glisser) de propulser le rider sur les plats comme dans les montées.

Aucun problème d’équilibre car les plateformes ont leur centre de gravité placés en dessous de ceux des roues.

Sur les plats chaque impulsion permettra de “glisser rouler” un certain temps sur un jambe ou l’autre - ou les deux - suivant la force employée, et dans les montées on pourra choisir ses allures qui iront de la simple marche tranquille à la frénésie de l’atteinte des sommets dans des temps que le grand Albert pourrait catégoriser de relatifs.

Pour les descentes les “bâtons” qui servent d’assurance, d’aide à l’effort, et de stabilisateurs, joueront alors également leur rôle de commandes de freins  : il suffira de les tirer vers soi pour freiner l’ensemble (les deux engins et l’humain qui sera dessus).

Le principe de ce que j’appellerai désormais « la propulsion par pendulum » est simplissime  : la plateforme centrale est suspendue aux deux moyeux des roues avant et arrière par un système de pendule. 

Lorsque l’engin roule avec le poids du rider, les deux roues sont libres, l’ensemble peut rouler et glisser.

Lorsqu’un pied pousse sur l’arrière, le frein arrière de la plateforme appuie sur la roue arrière et l’immobilise, ce qui permet de se propulser vers l’avant en faisant rouler l’engin de l’autre jambe, et ainsi de suite.

Le bâton sert d’appui et de renfort en cas de propulsion, et pour freiner quand on le tire vers l’arrière il vient plaquer le frein avant de la plateforme sur la roue avant, permettant d’immobiliser la roue pour arrêter l’engin.

Il est plus facile de visualiser le mouvement que de l’expliquer, c’est pourquoi je vous laisse ci-dessous une petite animation du principe du mouvement mécanique de propulsion par pendulum (rafraichissez la page pour relancer l'animation si elle s'est arrêtée). 

Pour voir le ScrollRider à l’œuvre, il vous faudra comme moi attendre les vidéos des premiers prototypes  ! 

Animation du mouvement du pendulum








jeudi 11 mars 2021

Le RollSlider, marche, cours, glisse et roule !

Un prototype virtuel du RollSlider™

Jusqu’ici j’ai travaillé seul et presque exclusivement “à la table” et sur mes propres deniers pour payer les quelques prestataires qui ont jalonné mon parcours du combattant de la R&D indépendante. 

J’arrive à la fois au bout de cette logique et de mes possibilités financières  : pour mes projets les plus forts il me faut désormais des partenaires solides - dans le sens de constants - ambitieux - dans le sens de voir grand pour l’humanité - et joyeux - dans le sens d’aimer partager et collaborer sur un projet enthousiasmant.

J’entame donc une démarche de recherche de fonds, afin de pouvoir continuer les plus prometteurs de mes projets et les mener à bien dans les meilleures conditions.

Le premier de ces projets sera le RollSlider™, cette sorte de kick-scooter à double skateboards permettant à la fois un déplacement doux de type marche, un transport sportif de type course, et un plaisir intense de type glisse ou balade à vélo.

Il me faut maintenant travailler avec des bureaux d’étude, des ateliers de mécanique de précision, des fabricants de cycles, et aussi avec des agences de communication, des professionnels de la relation presse, sans oublier tous les professionnels du droit, du commerce international et du conseil d’entreprise en général...

Et bien sûr étendre le champ d’action de tout le projet aux énergies collaboratives, mais ça si vous me connaissez depuis toutes mes vies précédentes, vous le savez déjà.


mercredi 3 juin 2020

RollSlider “Access”

Mes travaux sur le RollSlider s’orientent vers une version plus légère et pratique de l’engin, qui se présentera comme un accessoire de trottinette, qu’elle soit classique ou électrique.

Les glissières précédemment présentées étant encore à la fois trop lourdes et fragiles, elles seront remplacées par un système de bras articulés sur des charnières, qui seront eux-même reliés par d’autres systèmes charnières aux deux plateformes du RollSlider, disposées de chaque côté de la plateforme de la trottinette.

Le système anti-recul des roues des plateformes du RollSlider sera à la fois simple et robuste : 
des languettes rotatives de quelques centimètres seront suspendues de chaque côté sur les axes des roues du RollSlider comme des étriers, sur lesquels viendront se suspendre également via des axes rotatifs les plateformes latérales, à distance des roues avec un interstice suffisant, l’ensemble étant réglé pour que le mouvement du pied en avant libère la roue de la plateforme en la laissant tourner, et en arrière la freine par le déplacement arrière de ladite plateforme et conséquemment le frottement d'un élément idoine contre son pneu, bloquant ainsi la roue pour ne laisser libre que son mouvement de roulage vers l’avant.

L’ensemble permettant le repliage de la trottinette augmentée du RollSlider “Access” exactement comme l’aura prévu son constructeur sans manipulation supplémentaire.

Il est très probable que je construise moi-même le prototype et que je procède directement à la commercialisation et la fabrication sur commande du RollSlider version "Access", au moins pour ceux qui seront séduits par cet engin et cette nouvelle façon de rouler & glisser, qui seront donc un support de qualité pour la naissance in vivo veritas de ce projet.

dimanche 3 mai 2020

Stubbleer, May, bee

Une copie d’écran de la page du crowdfunding sur Kickstarter où vous trouverez une vidéo de moi-même utilisant le Stubbleer : oui, j’y pense tous les matins sans me raser ! ;-)

Sans aucune publicité ni communication professionnelle
sans grand espoir d’aboutissement en ces temps de crise profonde et probablement durable, 
et il faut aussi le dire pour l’expérience de l’authenticité totale
j’ai officiellement lancé cette campagne de crowdfunding pour le Stubbleer le 1er mai 2020.

Prévue sur 30 jours seulement, elle terminera à la fin du mois de mai.

Si elle atteint son objectif et si vous avez souscrit au projet, vous recevrez votre ou vos exemplaire(s) d’une première série du Stubbleer qui sera comme promis un véritable collector
Alors partagez largement l'adresse stubbleer.com avec toutes vos relations, le succès de cette campagne est entre vos mains !

Dans le cas contraire, nous en aurons au moins tous rêvé !

(rappel : en cas d’échec rien n’est encaissé et votre promesse de paiement est simplement annulée)

Réservez votre Stubbleer via sa page Kickstarter en cliquant sur ce lien : 
https://www.kickstarter.com/projects/alomphega/stubbleer/

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ACTUALISATION :

Tombée en plein premier confinement, cette campagne KickStarter pour le Stubbleer a évidemment échoué (le terme est choisi, je n'oublie pas que nous sommes ici sur le blog du nauticaerium ^^ ).

MAIS tel le phœnix, ce projet connaît une réelle renaissance en production autonome (sans dépendre d'un financement participatif donc) et l'Art de se raser soi-même se nommant la Pogonotomie, la nouvelle version revue et améliorée du Stubbleer se nomme désormais le Pogonotome™ !

Vous pouvez consulter son histoire via l'alias www.pogonotome.fr
ET vous pourrez l'acheter dès sa disponibilité via l'alias www.pogonotome.com





vendredi 13 mars 2020

Le Stubbleer, bien au delà de l’horizon






À l’origine pensé et étudié pour la vie à bord du bateau, cet ustensile va bien au delà de l’horizon initial…

Maintenir un visage propre et soigné est une obligation, mais se raser quotidiennement - surtout lors de tempêtes ou autres clapots courts - peut être un véritable pensum.

Alors les marins ont vite laissé pousser leur barbe… Hélas pour souvent s’apercevoir qu’elle gratte, qu’elle démange, qu’elle gêne, et qu’elle demande beaucoup plus d’entretien qu’un simple rasage.

Quid d’une solution qui à la fois éviterait les coupures et les pertes de temps quotidiennes, et les inconvénients d’une barbe poussant anarchiquement ?

Pratiques et directs, ces hommes d’Aventures ont vite constaté qu’une barbe courte et légère était la meilleure des solutions pour rester propre sans être gêné.

Tant et si bien que de nos jours, le fameux “stubble” (comprenez la barbe de 3 jours, ou encore l’ombre des 5 heures de l’après-midi, ou le plus actuel “look d’aventurier”) est devenu une marque de virilité.

Il restait cependant à résoudre le problème de la tondeuse : longue et compliquée à recharger à bord, et souvent quand même assez inconfortable malgré la sécurité supplémentaire qu’elle offre par rapport au rasage.

Les tondeuses manuelles servant plus à se muscler les doigts pendant de longues séances qu’à gagner du temps et du confort...

Le Stubbleer (prononcez “sstebelair” ou “sstebeliir” au choix...) permet à la fois de s’entretenir le stubble quotidiennement, de s’affranchir de toute recharge - aucune électricité, c’est un appareil manuel - de rester sain et soigné - il fait désormais partie des aspects masculins recommandés pour faire chavirer les cœurs à bord sans avoir besoin de faire chavirer le bateau lui-même - et de faire des économies en avitaillement autant qu’à tous les autres niveaux (entretien à sec, temps, gestes, préparation, etc.).

Par exemple une lame de Stubbleer est une simple lame de rasoir de sécurité (qui coûte 8 centimes actuellement) qui peut être utilisée pendant une semaine quotidiennement avant de commencer à perdre son tranchant utile.

Et en plus un ingénieux système permet de la déplacer pour repartir sur un tranchant neuf pour 8 jours de plus.

Oui, cette simple lame vous servira fidèlement pendant une quinzaine de jours, soit 2 lames ou 16 cts de dépenses pour un mois entier !

Retrouvez toujours toutes les dernières informations sur www.stubbleer.com ou www.barbercutter.com (je n’ai pas encore choisi le nom définitif de cette invention, et entre ces deux noms mon cœur chavire aussi ;) ).

vendredi 28 février 2020

Le tout dernier prototype de BarberCutter


(très) petite série du 16ème prototype du BarberCutter


Jusqu’ici tous les prototypes testés étaient ce qu’on appelle des “proofs of concepts” (preuves de concepts en français dans le texte), c’est-à-dire qu’ils servaient uniquement à valider ou invalider telle ou telle idée, telle ou telle fonctionnalité, telle ou telle évolution.

Les évolutions successives constituent ce qu’on nomme un travail par suite d’itérations, des changements successifs dont chacun s’appuie sur le précédent.

Le premier but d’un tel travail est de vérifier que l’idée (l’invention dans le cas présent) fonctionne, le second but après la preuve du bon fonctionnement, c’est d’améliorer régulièrement le concept afin d’en perfectionner les fonctionnalités.

Voilà qui est fait avec le BarberCutter (www.barbercutter.com)

Donc ce petit alignement de quelques 16èmes prototypes que vous voyez en photo ci-dessus montre la première version d’un appareil officiant, prêt à être testé en situation réelle, c’est-à-dire à passer au crible de l’utilisation régulière dans la vraie vie pour l’entretien de stubbles (“barbe de 3 jours”) de volontaires amis et curieux qui apporteront leur pierre à l’édifice de ce qui constituera à n’en pas douter une petite révolution dans l’Art de l’entretien de la barbe légère.

Plus besoin de charger une tondeuse, plus besoin de s’irriter avec un sabot souvent imparfaitement adapté, plus besoin de se demander si on sort tout l’attirail ou non… 

Encore plus simple qu’un rasoir de sécurité - on n’a même pas besoin de savon à barbe ou de crème de rasage - et encore plus propre que toute tondeuse - un simple souffle à sec suffit à éliminer tous les poils coupés, ou un rinçage si vous préférez, c’est au choix.

Un système astucieux de déplacement de la lame - de type petite lame de rasoir sécurité standard - permet en outre d’en utiliser toute la longueur du tranchant, rallongeant d’autant sa durée de vie et ramenant à quelques centimes les dépenses mensuelles pour le rasage… 

Quelques BarberCutters avec une lame de rasoir de sécurité.

La possibilité d'un rasage sobre et rustique comme les aiment les durs de durs ne vous empêche pas d’acheter aussi ces produits magnifiques aux senteurs de bois de santal et autres délices d’hommes délicats pour parfaire vos sensations. 

Le BarberCutter, cet ustensile aussi beau que pratique, aussi intelligent que malin, aussi curieux qu’ingénieux, vous permettra le rasage de vos rêves, où que ce soit, quand que ce soit.

Le BarberCutter avec sa lame en place : cute, isn't it ?

lundi 24 février 2020

BarberCutter, le besoin crée la fonctionnalité

Quelques prototypes fonctionnels d'essais et autres tests...
Ceux d’entre vous qui me suivent depuis des années savent que je travaille souvent sur des besoins qui me sont apparus dans un quotidien qui n’a de tel que la constante recherche de l’idée ad hoc.

J’aurais pu dire “idoine”, mais sur un blog de R&D nautique, j’ai pensé que “ad hoc” vous ferait sourire.

Depuis que, suite à quelques aventures marines et autres épisodes de retraites introverties, j’ai opté pour le Stubble(*)(**), je peste quand il me faut trouver sur le bateau de quoi recharger ma tondeuse pour entretenir cette barbe légère et conserver ce poil court mais soyeux qui tourne la têtes d’icelles et rend jaloux iceux.

(*) qu’on nomme aussi “barbe de 3 jours” en bon français ou qu’on prononce « steubel’ » si on veut adopter sa dénomination anglo-saxonne.

(**) parce que je trouve ça beaucoup plus pratique que se couper ou s’irriter tous les jours en se rasant (et aussi parce que ça plaît aux dames, il me faut bien l’avouer).

Iceux donc, toujours au taquet pour essayer de comprendre comment je fais pour plaire autant, suivent régulièrement mes inventions et savent via mon blog du Conceptarum que je travaille depuis quelques années sur un ustensile mécanique simple et pratique pour entretenir le poil sus-cité dans un geste magnifique qui n’a d’égal que l’exclamation d’admiration qu’elles soupirent toutes en me voyant l’utiliser.

Bref, bientôt vous pourrez vous aussi entretenir votre Stubble car vu que je ne suis plus sur le marché (désolé pour celles qui l’ignoreraient encore, mais il y a déjà longtemps qu’en bon capitaine j’ai trouvé ma dulcinée), je vais pouvoir partager avec vous un de ces secrets qui me rendent irrésistible.

J’en parle ici sur le blog du Nauticaerium car je vais probablement très bientôt ouvrir une campagne de crowdfunding pour la fabrication de ce qui sera ma première invention commercialisée directement par mes soins.
Pour découvrir et suivre le projet vous avez le lien "www.barbercutter.com".

J’attends de cette campagne d’apprendre beaucoup de choses afin de pouvoir ensuite financer de la même manière la fabrication de quelques autres projets intéressants comme le RollSlider et la Velalae.

mardi 12 novembre 2019

RollSlider : du prototypage à la page !

Ceci n'est pas (encore) un prototype.

Retour aux sources, ou plutôt dans ce cas retour à l’OpenSource et aux Logiciels Libres pour des études toujours plus poussées de prototypage du RollSlider.

Avant la bagarre.

Le prototypage virtuel et le Logiciel Libre ont ceci de magique qu’ils permettent à des inventeurs indépendants comme moi de rivaliser avec les plus grandes corporations dans une outrecuidance insensée, qui n’a d’égale que l’insolence du défit qui est ici, il faut bien le dire sinon l’avouer, complètement, absolument, parfaitement, incroyablement osé.

Ce n’est pas tous les jours qu’on propose des innovations de rupture aussi drastiques, qui amènent à la fois une nouvelle façon de se déplacer, un nouveau sport, un support de création industrielle locale implantée dans un tissu économique exsangue depuis des décennies, et qu’on crée de toutes pièces ce qu’il faut bien appeler un nouveau jouet absolument fantastique !

Pour l’instant bien sûr quelques cellules de veille technologique des grandes entreprises multinationales nous observent amusées, et attendent soit qu’on sombre dans les affres administratives d’un montage d’entreprise improbable, soit qu’on commence à intéresser quelques avant-gardistes et obtenir quelques clients avant de foncer sur leur proie comme ils ont l’habitude de le faire.

Que nenni, on ne leur donnera ni le plaisir du pillage ni celui du plagiat : nous avons décidé de ne pas déposer de brevet sur le RollSlider, ni sur les éléments (très) innovants qui le composent.

Pourquoi ?
Parce que depuis le début, le but de tous nos labos de R&D est d’amener au monde des idées réalistes et réalisables, pratiques et pragmatiques, altruistes et humanistes.

Nous somme conscients que ceci est difficile à croire, alors nous le prouvons :
non seulement nous ne bloquerons nos inventions avec aucun brevet, mais en plus nous serons à la disposition de tous ceux qui le voudront pour les aider à mettre en place leur propres chaînes de production du RollSlider, voire s’ils le souhaitent à en développer leur propre version !

Allez, fi de cet étalage d’ambitions démesurées et de provocations enjouées, retour au boulot.
Salut et à la suite ensuite !