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jeudi 28 mai 2015

La Velanavis, travail du troisième prototype...

Toutes les nouvelles sur le pointeur www.velanavis.com

Le gréement complet, avec tout le matériel nécessaire "et au delà !".

Notre métier n'est pas facile tous les jours : il faut faire attention aux galets !

La vidéo des derniers rebondissements :

jeudi 4 juillet 2013

Velalae : essais divers (et d'été) avec le prototype 07

Restez branchés en vous abonnant par mél ou en visitant régulièrement le pointeur www.velalae.com


Retour au polyamide, et quelques tests avant l'optimisation de l'aérodynamique.

samedi 8 juin 2013

Velalae : ça fleure bon !

Restez branchés en vous abonnant par mél ou en visitant régulièrement le pointeur www.velalae.com

Il s'agit toujours du sixième prototype, dont le tissu trop fin, trop souple et trop perméable - toujours imbibé d'eau, collant et alourdi - ne permet pas un bon gonflage et la tenue en forme du profil aéronautique...

Cependant, nonobstant ces aléas, on constate que l'engin se montre déjà assez performant pour la balade :-)

mardi 4 juin 2013

Sans Éole, c'est pétole et on rigole !

Toutes les actualités de la Velalae sur le pointeur : www.velalae.com


Fi des essais à sec, cette fois c'est sur l'eau que nous fûmes à sec... d'air !


Las, c'est encore ici que le tissu utilisé se révéla par trop hydrophile pour être agréable, surtout avec l'outrecuidance de s'être montré ainsi mouillé sans pastis ni glaçons.

Mais sinon ça avance, ça avance.

mardi 19 février 2013

Velalae : le 4ème prototype, c'est juste avant le 5ème !

(rappel : pointeur sur toutes les informations -> velalae.com)

Un étape qui permet toujours d'avancer malgré quelques petits soucis :

Ne cherchez pas le 3ème prototype dans les articles de ce blog, il est reparti à l'atelier aussitôt arrivé. Mais sa re-fabrication ne nous a pas épargné toutes les malfaçons pour autant...

Suite à un hiatus de conversion, la réalisation du fichier DXF de découpe de ce 4ème prototype a provoqué une augmentation de sa taille de l'ordre de 10%, modifiant d'autant le profil aéronautique du système.
Ce même défaut se retrouvera aussi hélas sur le prototype suivant (le n°5 donc).
Je travaille sur une solution logicielle qui me permette de réaliser entièrement, très souplement et en toute autonomie les futurs fichiers de découpe à partir du prototype #06.

Comme vous pourrez le voir sur la vidéo, ce #04 présente un autre gros défaut : le fourreau n'est pas dans l'alignement du bord d'attaque, ce qui crée une sorte de volet inversé et provoque la fermeture suivant les turbulences et les prises d'incidence de la Velalae.

Ces aléas sont cependant le lot de toute R&D, et pour retenir les côtés positifs on peut voir dans cet essai (toujours à sec) que :

  • le déploiement et le repliage sont effectivement très rapides
  • le gonflement est instantané
  • la Velalae ne demande qu'à remonter au vent (elle est naturellement ardente)



samedi 8 décembre 2012

Velalae, 2ème prototype

(Rappel : toutes les news sur ce concept via l'alias www.velalae.com)

Ce deuxième prototype présente un gros défaut aérodynamique : le profil de chute devrait être droit mais il est courbe. 
C'est une erreur de ma part sur un paramètre dans la configuration de SurfPlan, qui bien que n'étant pas prévu pour cet usage m'a servi pour la conception de la Velalae. Merci à David Aberdeen de m'avoir aidé à repérer le problème. Le prochain prototype sera corrigé.

Ce défaut de profil entraîne un ballonnement qui provoque une instabilité de la "v-aile" et réduit bien sûr son rendement, ce qui complique les tests sur l'eau. 

Les points positifs de cet essai à terre : 
  • Le matériau employé semble idéal.
  • La taille de voilure (3 m²) paraît adaptée.
  • L'angle d'attaque du profil correspond à mes estimations et permet l'autoréglage de l'incidence de la Velalae ; ceci lui permet de procurer une portance auto-régulée avec seulement deux points de fixation, sans besoin de ce qui correspondrait à un réglage d'écoute sur une voile classique.

Comme souvent la vidéo est publiée pour le témoignage et l'analyse, aussi ne vous attendez pas à un film court... En même temps il est bon de rappeler que vous avez un curseur en bas du lecteur vidéo pour vous y déplacer à loisir et ne regarder que ce qui vous intéresse.

Avant de vous laisser vous délecter avec ma façon de bouger sublime et sublimée, je tiens encore à remercier David Aberdeen (SurfPlan) pour son aide et sa disponibilité.

mardi 20 novembre 2012

La Velalae remonte le vent

(Rappel : toutes les news sur ce concept à l'adresse www.velalae.com)

Très content de voir ma théorie concernant la possibilité de remonter au vent avec seulement un aileron et une pagaie comme plans antidérive/gouvernail enfin prouvée ! 

Toujours le premier prototype d'environ 1m², toujours un tout petit vent (cette fois ~10 km/h), et avec une planche plate de SUP de 11'6'' sans dérive.

Malgré cette très petite taille pour cette voile de test de la Velalae on peut remonter au vent, naviguer au prés, aller contre le vent, aller au vent, to go windward, to go upwind... 

Bref, c'est fantastiquement prometteur !

samedi 17 novembre 2012

La Velalae

Du latin veli (voile) & alae (aile)

Vous pourrez suivre les évolutions de ce concept sur le pointeur www.velalae.com.

Rappelons que mes recherches sur le SUPsailing (www.supsailing.info) tendent à trouver un moyen simple et rapide pour pratiquer la navigation sur une planche par tous les temps : de la pétole en Stand Up Paddle (à la pagaie) jusqu'à des vents de véliplanchistes (à la voile) sans revenir au camp de base pour changer d'équipement.

Après des mâts qui se montent et se démontent facilement sur le flotteur, des voiles qui utilisent la pagaie comme espar et d'autres idées comme l'utilisation d'une aile à caissons, voici le premier (très petit) prototype de Velalae : une aile en arche (comme un kitesurf) montée sur un jonc de fibre.

L'aile est fixée d'un côté à l'avant du flotteur (ce qui correspondrait au point d'amure pour un foc) et de l'autre à l'olive de la pagaie (comme des points de drisse et d'écoute confondus).
La pagaie sert à la fois de mât, de réglage d'écoute, de dérive, et de gouvernail.

La vidéo ci-dessous montre le principe et le fonctionnement.

Ne vous attendez pas à voir des sauts de plus de 10 mètres ni d'autres figures de style : là je n'avais pas le temps ;-)
Et avec un vent force 1 sur une voile de 1m², même si elle est très bien profilée aérodynamiquement, il convient de se réjouir que les conditions permettent uniquement, disons, une mise en place paisible. O:-)

Ceci étant dit, vous verrez que malgré la petite taille de ce premier prototype et ce vent faible le système permet d'avancer suffisamment vite pour diriger l'engin, ce qui augure de très bonnes performances avec une taille de voile adaptée.


Le prochain prototype offrira 3 m² de surface vélique pour un bord d'attaque de 4 mètres de long, soit presque le double d'envergure pour plus du double de surface.

L'image montre le design de la future Velalae #02 :


Ce concept est testé sur des SUP, mais que je vois toutes les raisons possibles pour qu'il puisse être adapté aux bateaux : réduction de la hauteur des mâts et de la gite, simplification du gréement et de la voilure, sécurité grâce à l'incidence automatique du système vélique, etc.
À suivre...

nota bene :
remerciements chaleureux à 
David Aberdeen, développeur de l'excellent logiciel SurfPlan sans qui ce concept n'aurait pas pu voir le jour !

dimanche 13 mai 2012

Les dessous ? Chic !

Deux plans-séquences du dessous de la carène d'un flotteur de Stand Up Paddle (SUP) pendant la rame.
Le premier caméra sur le devant filmant vers l'arrière, le second caméra sur l'arrière filmant vers l'avant...

On voit clairement que la carène est balayée par un tapis de bulles, formées par les remous de la pénétration de la carène sur l'interface eau/air à la surface de l'eau.

Accessoirement on distingue aussi les vortex créés par la pale de la pagaie.

vendredi 30 mars 2012

SUPSail v2, le premier prototype.

(comme d'habitude, un lien spécial pour obtenir les dernières infos sur cette rubrique "SUP sailing" du blog du nauticaerium : www.SUPsailing.info )

La pagaie toujours en guise de bôme comme pour la version 1, mais l'inspiration du gréement s'oriente sur une voile hawaïenne, sorte de gréement en Pince de Crabe amélioré.
L'avantage est multiple : on se passe d'un système de préemption biface (exemple : pas besoin de wishbone), on a un gréement à géométrie variable, on bénéficie d'un creux pour la puissance avec une voile plate, etc.

Ce premier prototype de SUPsail 2ème version présente une surface de 2,30 m² un peu trop petite.
Le prochain offrira une voile hawaïenne de 3m², ce qui vu le rendement supérieur de ce gréement devrait offrir assez de puissance pour naviguer dans les petits airs comme dans les gros. De quoi en prendre des grands ! (airs ;-)

mardi 28 février 2012

Ogive SUP Design v3.0...

... Ou le Design Open Source.

Mon concept très spécial de Stand Up Paddle de type "Ogive" arrive à maturité avec cette troisième version.

Une carène SUP planante ultra rapide, capable de supporter les plus lourds comme les plus légers sans être ni trop longue ni trop large, en offrant une plateforme SUP comme PAV (Planche À Voile) aussi stable qu'un paquebot pas que belle : révolutionnaire, aussi !


C'est en constatant ses nombreuses qualités que l'évidence m'est apparue (un soir je l'ai même entendue aussi, mais il était très tard alors ça n'est pas racontable) :
Ce progrès doit pouvoir profiter au plus grand nombre.

C'est pour cette raison que j'ai décidé d'offrir les plans et toutes les idées rassemblées dans cet engin à tout le monde.
(La seule obligation est la mention "Designed by Guy Capra" sur chaque flotteur Ogive complet ou "[names of the items used] designed by Guy Capra" selon le cas.)


Bien sûr si vous êtes - ou devenez - une grande marque, quand vous gagnerez beaucoup d'argent avec mon concept il me sera très agréable de recevoir officiellement votre support pour m'aider à continuer ma mission dans ce nauticaerium, mais cela ne vous sera même pas imposé. Disons juste que ça me ferait tellement plaisir... O:-)

Bon, trève de baratin : pour obtenir les plans, envoyez un mél sur ogive (à) alomphega.com .
Vous recevrez les fichiers électroniques ad hoc au format BoardCAD (logiciel Open Source) et AKUShaper (logiciel gratuit) en ce qui concerne la conception 3D, et les contours, couples et profils dessinés sur des grilles de 1cm X 1cm dans des fichiers PDF qu'il vous suffira d'imprimer pour obtenir les plans sur papier.
Vous aurez aussi une notice explicative pour tous les appendices comme les ailerons en tandem, la poignée de transport externe, la valve de décompression automatique, le rail de pied de mât, etc.


Pensez à faire des vidéos de vos futurs essais !


nota bene : remerciements chaleureux aux équipes des logiciels AKUShaper, BoardCAD, et Shape3D sans qui ce concept n'aurait pas pu voir le jour.

samedi 3 septembre 2011

Si tu n'es "pagaie", voici du "bôme" au cœur !

Je vous accorde que ce titre tout en jeux de mots subtils et délicats peut paraître abscons, mais je n'ai pas pu résister.

Mes essais sur l'idée du SUPsailing m'ont amené à conclure que la pagaie utilisée en espar principal (en mât) ne permet pas suffisamment de surface de voile pour une navigation satisfaisante.

Rappel :
L'idée principale du SUPsailing est de partir à la pagaie en Stand Up Paddle normalement, tout en pouvant gréer une voile sans revenir à terre (vent imprévu qui se lève, envie subite de faire de la planche à voile, etc.).
Ou le contraire : partir à la voile par exemple pour remonter au vent et ensuite ranger le gréement pour s'offrir un downwind en SUPsurfing endiablé...

La recherche n°1 reste donc d'embarquer sur le SUP le moins possible de matériel supplémentaire.

On a déjà un flotteur et une pagaie.
On embarque donc en plus une voile et un mât qui devront pouvoir se plier facilement et se faire oublier.

Pour éviter d'embarquer un wishbone toujours très encombrant et se retrouver avec une pagaie à fixer pour pouvoir naviguer à la voile, cette dernière sera utilisée comme bôme.

La voile type "planche à voile" sera donc adaptée en conséquence : au lieu d'avoir un wishbone qui laisse passer la voile, on aura une voile qui laisse passer la pagaie-bôme !

Le premier prototype de voile "SUPsail" aura un fourreau de mât pour un petit mât RDM de 3,70m, un fourreau pour tenir l'olive de la pagaie contre le mât sans l'abîmer, et un dernier fourreau réglable par velcro avec une sangle de latte pour étarquer sans effort le point d'écoute sur la pale de la pagaie.

En mode SUP le mât est couché sur l'avant du pont en deux parties, la voile enroulée dessus.
Pour passer en mode voile (sailing) :
  • on connecte ses deux parties et on enfile le mât dans le fourreau de la voile, 
  • on enfile la pagaie dans ses fourreaux d'olive et de pale et on l'étarque avec sa sangle de latte, 
  • on pose le tout sur une sphère fixée sur le pont (pas de pieds de mât, des systèmes simples de fixations sans modification des SUPs sont prévus).

Le premier dessin du premier prototype de voile :


Bientôt j'espère les vidéos...

vendredi 19 août 2011

Et ma pagaie, elle pagaie bien ma pagaie ?

Différents essais de tailles de pales.

Pas d'avis sur les types de pagaies si ce n'est une évidence : plus c'est léger, moins c'est lourd ! ;-)

Beaucoup de subjectif évidemment, mais quand même un compteur pour montrer le plus objectivement possible les différences de rendements sur un parcours réduit pour limiter les distorsions dues à la fatigue.

Les plus petites pales donnent l'impression de créer plus de turbulences que de réellement accrocher dans l'eau. Mais encore une fois ceci est seulement du ressenti.

Au niveau mesuré, entre une pagaie de 7,8" et une autre plus grande de ~8.5" la différence de rendement est d'1 seconde sur un parcours d'une dizaine de secondes... Soit environ 10% !

dimanche 7 août 2011

SUPsailing, le gréage et le dégréage...

Un plan séquence pour montrer le comportement à la pagaie et en SUPsailing ainsi que le gréage et le dégréage du système.

Ce n'est pas encore le prototype de voile concave pour un emploi maximal de l'effet Bernoulli. Il ne développe donc pas une puissance vélique suffisante pour remonter au vent.
Mais ce modèle plat permet quand même de diriger suffisamment l'engin pour aller où on veut dans les allures permises par les principes de la navigation à la voile.
De plus ceci par vent de travers dans la quasi pétole, ce qui augure de bonnes performances à l'avenir.



Ce qui n'a pas pu être filmé : j'ai ensuite fait 1 km vent debout en SUP (à la pagaie) puis ce même kilomètre en SUPsailing en vent arrière et en dirigeant l'ensemble uniquement en déportant l'espar (la pagaie) en l'air pour changer le centre vélique. Ça fonctionne. C'est physique par petit temps car on porte espar et voile à bout de bras, mais ça fonctionne. Avec un vent plus soutenu on devrait pouvoir porter l'espar de manière plus confortable.

dimanche 24 juillet 2011

L'eau bue donne l'Ogive

"Ce n'est plus un nez, c'est une péninsule !"...

Mes derniers calculs augmentés des contingences de certaines jauges - pour ne pas priver les compétiteurs de cette nouvelle bombe de course - m'ont amené à retravailler la forme de ma carène de SUP à effet planant.

Et comme souvent, les astreintes à respecter ouvrent à des solutions parfois insoupçonnées.

L'étrave planante s'augmente d'un étirement de la carène et du "rocker" qui permettent à la fois un allongement de la ligne de flottaison et une meilleure perforation du clapot avec maintien hors d'eau grâce à une tête en ogive, tout en conservant cette capacité de glisse avec départ au planing à la moindre sollicitation du rameur ou de la vague.

C'est bien simple, cette arme ultime du SUPer fou n'est plus un obus, c'est une torpille ! :o)

Pour l'occasion le concept "Obus" devient donc le concept "Ogive". O:-)

Deux images pour illustrer le propos et montrer le modèle comme l'idée :


mardi 5 juillet 2011

Le concept de SUP "Obus"

Les dernières infos sur la collaboration de Laird Hamilton avec la société Puma et notamment son nouveau prototype de flotteur de SUP dessiné par le célèbre architecte naval Juan Kouyoumdjian m'incitent à révéler un peu plus tôt que prévu quelques uns de mes derniers travaux.
Non pas que je me compare à ces grands hommes (quoique vous connaissiez bien mon immodestie ;-) mais surtout pour éviter d'être bêtement coincé par un dépôt de brevet ou de modèle qui bloquerait des mois de réflexions.

J'étudie donc depuis quelques temps des formes performantes pour des flotteurs de SUP en m'inspirant de la logique de la mécanique des fluides aussi bien que des dernières formes de carènes de voiliers planants en passant par d'autres travaux sur les foils, et j'arrive à ce même esprit de planches très large sur l'arrière, en forme "d'obus" avec un arrière tronqué : ceci permet en théorie de prendre de la vitesse plus facilement puisque la longueur de carène est artificiellement prolongée par le sillage lui-même.

On obtient donc un flotteur qui resterait efficace en vitesse comme un longboard, mais qui étant plus court et plus léger peut permettre des performances séduisantes, sur le plat comme sur la houle. En downwind comme en upwind. En race comme en vagues.
En théorie, et selon mes propres conclusions qui je le rappelle n'engagent que moi !

Par contre pour l'étrave je ne suis pas dans la même logique que celle des étraves perce-vagues comme toutes les dernières planche SUP de race.
Je m'oriente plutôt sur un rocker léger avec un fond plat et des rails arrondis, et une étrave type "bateau" seulement au-dessus de la ligne de flottaison et uniquement pour éviter que les quelques vagues de clapot plus hautes que les autres ne freinent la progression.

Le fond plat permet de passer sur les vagues, réduisant ainsi par l'effet de glisse et l'émulsion due aux impacts sur les crêtes le nombre de particules d'eau qui accrochent la carène, et sans avoir à écarter le fluide comme une carène à déplacement ce qui peut provoquer résistance et surface mouillée (donc frottements) supplémentaires.
De plus les rails arrondis facilitent le passage au semi-planing en corrélation avec chaque coup de pagaie : à chaque accélération le flotteur "monte" sur la surface et présente moins de surface sur et dans l'eau, et donc encore moins de frottement...

Ces dernières options augmentées d'un nouveau concept à double ailerons alignés (le premier aileron fend l'eau pour faciliter la pénétration du second qui empêche les turbulences de freiner le premier : le même principe que deux voitures de course qui se suivent très rapprochées, elles sont plus rapides et consomment moins que si elles étaient plus espacées) devrait pouvoir permettre une progression assez sensible dans les performances : au coup de pagaie la carène réduit sa surface mouillée tout en conservant voire en allongeant sa ligne de flottaison virtuelle, et la surface augmentée des ailerons réduira d'autant l'effet de row tout en diminuant le frein de leurs traînées...

Pour l'instant tout ceci n'est que théorique, mais je ne désespère pas de pouvoir très bientôt l'expérimenter sur un custom. Restez branchés !

Pour vous faire patienter voici quelques images de cette conception en ce qui concerne la forme du flotteur lui-même :





dimanche 3 juillet 2011

La Golden Islands Race

C'est avec bonheur que j'ai participé à cet évènement conçu et orchestré par le waterman Alexandre Grégoire à Hyères les Palmiers.

(nota bene : ce § est désormais obsolète mais demeure pour l'archivage)
Partenaire au niveau des noms de domaines internet, j'ai fourni et configuré des adresses pour le web avec www.goldenislandsrace.com, www.goldenracepaddle.com, www.supgoldenrace.com ; pour facebook avec facebook.goldenislandsrace.com, facebook.goldenracepaddle.com, facebook.supgoldenrace.com ; pour l'inscription en ligne avec inscription.goldenislandsrace.com, inscription.goldenracepaddle.com, inscription.supgoldenrace.com ; et enfin pour les eMails avec contact@goldenislandsrace.com, contact@goldenracepaddle.com, contact@supgoldenrace.com.

En outre pour faire plaisir aux protagonistes présents comme à ceux qui auront regretté de ne pas pouvoir être là, j'ai tourné quelques images vidéos que je vous publie dans leur intégralité dans cette playlist :

Si vous ne voulez pas tout regarder et sauter des passages vous pouvez soit faire glisser le curseur à la souris, soit cliquer directement dans la barre de progression.



Quelques albums photos-souvenir également :
http://picasaweb.google.com/Alomphega/20110625LaGoldenIslandsRaceSurLeVifJour1
http://picasaweb.google.com/Alomphega/20110626LaGoldenIslandsRaceSurLeVifJour2LeMatin12
http://picasaweb.google.com/Alomphega/20110626LaGoldenIslandsRaceSurLeVifJour2LeMatin22
http://picasaweb.google.com/Alomphega/20110626LaGoldenIslandsRaceSurLeVifJour2LApresMidi12
http://picasaweb.google.com/Alomphega/20110626LaGoldenIslandsRaceSurLeVifJour2LApresMidi22

Bonne(s) visualisation(s) !

lundi 14 mars 2011

SUPkiting versus KiteSUP

Ce billet présente un projet qui n'en est encore qu'au stade de l'idée et qui nécessite un peu de développement méthodologique pour faire ses preuves, alors restez branchés sur http://www.supkiting.info pour les news !

Le KiteSurf, sport intéressant mais assez extrême, connaît depuis quelques années un succès qui ne se dément pas.

À tel point qu'il est devenu également "extrême" de simplement se frayer un chemin sur l'eau des spots autorisés les jours où les conditions météo sont favorables ; lesquels spots se font de plus en plus rares de part les restrictions d'autorisations de plus en plus nombreuses.

Certains acteurs du kitesurf ont bien compris la nécessité de développer des alternatives, qui proposent des solutions plus accessibles comme F-One avec son aile 2 lignes "La Source" prévue pour être utilisée par petit temps avec un flotteur de SUP :


Mais comme le montre la vidéo cette solution reste pour moi trop sportive et de plus elle demande de choisir entre l'aile et la pagaie dès le départ...

L'idée du SUPkiting c'est une alternative plus tranquille : partir en promenade SUP de manière classique - donc avec un flotteur qui flotte et une pagaie pour avancer - et utiliser une aile de kite plus petite que pour le kitesurf pour revenir sans danger et sans se fatiguer.
Ou bien naviguer sans danger avec le kite dès que le vent complique la rame avec la pagaie.

L'intérêt est multiple à mes yeux :
  1. partir en SUP de n'importe où, même d'une plage interdite au kitesurf
  2. naviguer partout, même le long des falaises et dans les criques sans vent
  3. aller plus loin à la pagaie
  4. revenir plus rapidement et sans fatigue
  5. profiter d'une glisse douce et sans danger
    ...
Pour cela il faut bien sûr une aile légère qui puisse être transportée sur le SUP sans encombrement ni efforts et déployée à partir du flotteur sur l'eau, ce qui exclut de fait les systèmes avec pompe et boudins gonflables.

Il existe des ailes marines à caissons gonflables. Ces ailes permettent de laisser le vent les gonfler à la place d'une pompe, ce qui facilite leur gréage :


Ce système représente un aspect pratique indispensable au gréage de l'aile sur le flotteur sans avoir besoin de pompe, et de plus ce type d'ailes vole en général avec beaucoup moins de vent que leurs cousines à boudins puisqu'elles sont plus légères et qu'elles présentent un ratio poids/portance plus efficace.

Cependant la taille d'une aile de kitesurf classique reste beaucoup trop importante - elle doit soulever le kitesurfer de l'eau comme le fait un bateau pour un skieur nautique - et ce qui amuse les kitesurfers comme les sauts de plusieurs mètres de haut m'incite personnellement à rester sur la plage pour les admirer de loin en sécurité...

Alors comment obtenir une aile de kitesurf sûre, marine, pratique, et assez petite pour ne pas nous emporter dans les airs ?

La réponse est dans les ailes d'entraînement.
Ce qu'on appelle des "trainers" sont des ailes de traction en taille réduite faites pour permettre aux "riders" débutants de s'entraîner à la traction sans risque d'être emportés et/ou blessés.
Il en existe de plusieurs sortes, et mon attention s'est portée sur deux d'entre elles, des ailes marines à caissons.

L'une est en trois lignes (deux lignes sur une barre pour le pilotage et une ligne de sécurité/redécollage automatique), c'est la "Hydra" de chez HQ :

L'autre est en 5 lignes (deux lignes pour les avants/la traction sur un harnais, deux lignes pour les arrières/la direction sur la barre, et une ligne de sécurité/redécollage), c'est la toute nouvelle Viron de chez Flysurfer :


Ces ailes, transportables aisément dans un petit sac à dos, permettent de partir en randonnées SUP à la pagaie comme en Stand Up Paddle classique, puis si le vent monte ou simplement après une longue randonnée pour revenir plus rapidement sans pagayer, elles pourront être déployées directement sur l'eau à partir du flotteur de SUP pour être utilisée en ailes de traction douce.

Ce système doit pouvoir également permettre de remonter au vent ("naviguer au prés" comme un voilier) grâce aux deux plans antidérive que représentent les ailerons et les étraves des SUP dits de "Race", voire avec certains flotteurs hybrides de "WindSUP" (Windsurf & Stand Up Paddle) équipés d'une dérive.

À suivre...

mercredi 18 août 2010

DOLfin : encore du boulot !

Le principe DOLfin ("Dynamic On Lift fin" ou "aileron dynamique sur portance") est validé depuis un petit moment - récupérer les mouvements d'équilibre pour actionner une voilure sous-marine d'aide à la propulsion - mais je n'ai pas encore trouvé la bonne formule pour un prototype efficace.

Icelui - le 4ème donc - présente un meilleur aspect que les précédents mais sa voilure est bien trop petite, ce qui limite l'intérêt vu qu'il n'y a aucun gain de puissance, et même plutôt une perte due au frein hydrodynamique du système.

Bref, il y a encore du boulot !

dimanche 15 août 2010

Système DOLfin, prototype #3

Mieux que le #1, mais moins bien que le #2...

Ce prototype souffre d'une voilure sous-marine trop souple et trop petite. On voit bien cependant sur cette vidéo que même avec cet handicap qui réduit grandement l'effet propulsif, le principe "DOLfin" reste efficace.

Le prochain prototype reprendra la voilure sous-marine unique et large du #2 avec le principe de fixation du #3 amélioré par des ventouses profilées plus hydrodynamiques.