L'entraînement au SUP suit son cours (d'eau ;-) pour votre serviteur, et si les muscles et le squelette prennent beaucoup de temps et ont besoin de repos à son âge pour s'adapter, le cerveau lui ne s'arrête jamais. Même pas en rêves...
Si le SUP est une manière éminemment sympathique de "marcher sur l'eau", il reste assez encombrant à transporter et la pagaie demande des efforts que les bras ne sont pas habitués à produire.
Imaginez deux flotteurs à footstraps de la taille de skis nautiques (environ 2m de long pas plus).
Imaginez deux "bâtons" de ski avec des petits flotteurs à leur extrémité pour s'appuyer et aider son équilibre.
Imaginez un système simple mais ingénieux de cranteurs en dessous des flotteurs pour permettre d'avancer sans reculer au moindre mouvement de va-et-vient des flotteurs...
Et voici un waterman qui - tel un skieur de fond transalpin sur les étendues enneigées - sera capable d'arpenter tous les cours d'eau sans fatigue et sans prédispositions sportives particulières, mais qui à l'instar de la marche aura trouvé une façon des plus agréables de se faire une santé en s'amusant sur l'eau.
Pour sponsoriser la R&D du "CrossWaterSkiing" : crosswaterskiing @ adalius . fr
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mercredi 16 juin 2010
Le "SwellMatix", le générateur de vagues artificielles en pleines eaux
En observant les nouvelles techniques d'entraînement des surfers et windsurfers qui utilisent pour glisser les vagues des sillages des bateaux de leurs coaches, je me suis dit qu'il fallait inventer une façon plus économique (et par conséquent plus écologique) de créer des vagues sur des plans d'eau ouverts.
Impossible d'utiliser les mêmes systèmes que ceux existant en bassins de carènes ou en piscines à vagues pour créer les vagues artificielles : beaucoup trop lourds et coûteux, ils sont difficilement adaptable sur des plans d'eau ouverts comme les lacs et les mers car ils utilisent les bords de leurs bassins pour augmenter la taille des vagues en superposant les fréquences de leur production.
Alors m'est venue une idée :
Le balai en tournant crée une vague régulière et hélicoïdale qui vient mourir sur le périmètre.
Le surfer peut évoluer sur cette vague de son début au sortir du balai jusqu'à sa fin sur le périmètre.
Par exemple si le balai mesure 2 mètres et que le périmètre propose une surface sur l'eau de 1000 m² environ (18m de rayon), le surfer bénéficie d'une vaque d'environ 20 mètres de long, régulière, qui revient à intervalles constants.
Bien sûr beaucoup d'améliorations sont à étudier, en partant d'une taille modulable de la barrière suivant les besoins de place pour l'évolution nautique aux balais à vitesses et incidences variables pour l’entraînement des professionnels et/ou les pratiques ludiques grand public...
Pour toute information sur cette idée de générateur de houle vous pouvez me contacter sur :
swellmatix @ adalius . fr
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Impossible d'utiliser les mêmes systèmes que ceux existant en bassins de carènes ou en piscines à vagues pour créer les vagues artificielles : beaucoup trop lourds et coûteux, ils sont difficilement adaptable sur des plans d'eau ouverts comme les lacs et les mers car ils utilisent les bords de leurs bassins pour augmenter la taille des vagues en superposant les fréquences de leur production.
Alors m'est venue une idée :
- un "balai" fixé sur un axe tournant
- l'axe étant mobile autour d'un poteau type téléskis
- une barrière circulaire périmétrique ayant pour centre cet axe et créant une surface d'évolution nautique
Le balai en tournant crée une vague régulière et hélicoïdale qui vient mourir sur le périmètre.
Le surfer peut évoluer sur cette vague de son début au sortir du balai jusqu'à sa fin sur le périmètre.
Par exemple si le balai mesure 2 mètres et que le périmètre propose une surface sur l'eau de 1000 m² environ (18m de rayon), le surfer bénéficie d'une vaque d'environ 20 mètres de long, régulière, qui revient à intervalles constants.
Bien sûr beaucoup d'améliorations sont à étudier, en partant d'une taille modulable de la barrière suivant les besoins de place pour l'évolution nautique aux balais à vitesses et incidences variables pour l’entraînement des professionnels et/ou les pratiques ludiques grand public...
Pour toute information sur cette idée de générateur de houle vous pouvez me contacter sur :
swellmatix @ adalius . fr
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vendredi 7 mai 2010
Théorix...
Lors d'un échange de méls avec un de mes collègues, il racontait que lors de ses propres essais (oui, il est propre ;-) il avait été étonné que lorsqu'il naviguait avec son aile en mode pilotée, elle avait tendance à lui permettre ensuite de remonter au vent sans aucun pilotage (comprendre : en mode "cerf-volant monofil").
Il ne m'en a pas fallu beaucoup plus pour que j'essaie de comprendre bien sûr, et pour que je lui soumette cette explication théorique bien française et néanmoins assez risquée (d'où le titre du billet, je vous laisse réfléchir là-dessus ;-) :
Le point d'attache du cerf-volant, lancé dans une direction à une certaine vitesse créée son propre vent relatif, composante du vent réel et de la direction inverse du mouvement.
Le CV monofil reçoit donc ce vent relatif et se cale en fonction d'icelui.
Si la forme du CV le cale naturellement au zénith en utilisation normale (point d'attache fixe), alors cette même forme le calera au nouveau zénith créé artificiellement par le vent apparent, position zénithale constamment en mouvement dans le sens de la direction du mouvement.
Ceci peut permettre ainsi à un engin flottant avec un plan anti-dérive de remonter au près ou à un engin roulant de remonter au vent.
J'ai essayé la traction très puissante d'un flowform dans la vidéo ci-dessous, et j'ai essayé en me déplaçant (en courant) de vérifier cet effet, mais hélas il semblerait que je ne sois pas assez rapide ;-)
De plus ce flowform a tendance à faire des embardées constamment auto-corrigées par sa queue et ne se cale pas vraiment au zénith de sa fenêtre, ce qui n'est pas l'optimum pour vérifier cette théorie toute personnelle :
Donc, comme ne le montre pas cette vidéo, il devrait être possible de lancer un CV depuis un engin flottant avec dérive (ou roulant sur terre), de partir à une allure type grand largue (dans le sens du vent), prendre suffisamment de vitesse (c-à-d créer un vent relatif significatif) puis changer d'allure pour remonter au vent, sans aucun pilotage du cerf-volant tracteur.
À suivre...
Il ne m'en a pas fallu beaucoup plus pour que j'essaie de comprendre bien sûr, et pour que je lui soumette cette explication théorique bien française et néanmoins assez risquée (d'où le titre du billet, je vous laisse réfléchir là-dessus ;-) :
Le point d'attache du cerf-volant, lancé dans une direction à une certaine vitesse créée son propre vent relatif, composante du vent réel et de la direction inverse du mouvement.
Le CV monofil reçoit donc ce vent relatif et se cale en fonction d'icelui.
Si la forme du CV le cale naturellement au zénith en utilisation normale (point d'attache fixe), alors cette même forme le calera au nouveau zénith créé artificiellement par le vent apparent, position zénithale constamment en mouvement dans le sens de la direction du mouvement.
Ceci peut permettre ainsi à un engin flottant avec un plan anti-dérive de remonter au près ou à un engin roulant de remonter au vent.
J'ai essayé la traction très puissante d'un flowform dans la vidéo ci-dessous, et j'ai essayé en me déplaçant (en courant) de vérifier cet effet, mais hélas il semblerait que je ne sois pas assez rapide ;-)
De plus ce flowform a tendance à faire des embardées constamment auto-corrigées par sa queue et ne se cale pas vraiment au zénith de sa fenêtre, ce qui n'est pas l'optimum pour vérifier cette théorie toute personnelle :
Donc, comme ne le montre pas cette vidéo, il devrait être possible de lancer un CV depuis un engin flottant avec dérive (ou roulant sur terre), de partir à une allure type grand largue (dans le sens du vent), prendre suffisamment de vitesse (c-à-d créer un vent relatif significatif) puis changer d'allure pour remonter au vent, sans aucun pilotage du cerf-volant tracteur.
À suivre...
mercredi 14 avril 2010
Expérimentations
Pourquoi "CT shape" ? Parce que "C shape" pour la forme en arc de traction, "T shape" pour la lettre que décrit le dessin des boudins/lattes, et "C-T" pour le jeu de mot (prononcé à l'anglaise "CT" donne "city").
Maintenant vous avez de quoi comprendre pourquoi le prochain prototype sera un "CE shape", vu qu'icelui manque cruellement de rigidité aux oreilles (là où sont attachées les lignes).
Le "T" deviendra donc un "E". CQFD ;-)
Pourquoi un Power Sled ? Parce que ce type de cerf-volant est à la fois très puissant et très stable, tout en restant très simple et en étant capable de voler par très petit temps (pendant la vidéo il y avait un petit force 2).
Rien ne vaut l'expérimentation :
- -> Pour le kailsurf avec pagaie (WindSUP ? KailSUP ?) je commence à entrevoir des possibilités pour un système d'autopilotage du kite de traction.
- -> Pour le kailsurf avec pilotage je commence à envisager une fixation à l'arrière du flotteur car la traction par aile avec les arrières fixés à l'emplacement correspondant au pied de mât de planche à voile ne me semble pas adéquate.
vendredi 2 avril 2010
Essais de systèmes de pilotage pour le kailsurf
Encore une fois la solution semble plus simple que ce que j'avais imaginé dans un premier temps.
(comme pour le "ScullMatix" dans le menu "Sujets" sur la droite choisissez la rubrique "Kailsurf" et remontez les articles présentés en chronologie inverse pour voir l'histoire se dessiner sous vos yeux incrédules et néanmoins humides d'une reconnaissance que je sens devenir éternelle)
J'avais pensé à un pilotage sur les arrières avec les avants tractant le flotteur, mais il semblerait que le pilotage sur les avants avec les arrières en traction donne de meilleurs résultats, autant sur le plan sécurité - très naturelle - que sur le plan de la stabilité de l'aile, du flotteur, et du bonhomme...
Regardez à partir de 2'00" la vidéo en bas de ce billet, vous aurez immédiatement la révélation comme je l'ai eu moi-même en essai sur le terrain.
En effet, les lignes arrières en traction du flotteur et les lignes avants tout simplement en commande de direction et barre de traction pour le pilote permettent pilotage instinctif et sécurité immédiate. La courte longueur (!) des lignes participe à la facilité d'utilisation.
Sécurité à la fois passive et dynamique : on lâche la barre et l'aile tombe comme une feuille. Par contre en pilotage la traction sur les avants aide le rider à se tenir, un peu comme il le ferait avec un wakeboard.
Bon, cependant dans ce monde et à part vous et moi, rien n'est parfait :
Conclusion : il va me falloir créer un type d'aile spécifique adapté au kailsurf.
Pour répondre à son cahier des charges, cette aile :
Ceci étant dit et quand ce sera fait, le rider-surfer sera un homme heureux.
Sont seul souci en session sera de ne pas trop garder le sourire longtemps pour éviter que trop d'exocets (poissons volants) se collent sur ses dents blanches et parfaites.
Si mon humour ne vous laisse pas indifférent, songez seulement une seconde à ce que pourra vous apporter mon génie ! Bref : restez branchés... ;-)
En attendant le beau d'eau, les essais sur le sable :
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(comme pour le "ScullMatix" dans le menu "Sujets" sur la droite choisissez la rubrique "Kailsurf" et remontez les articles présentés en chronologie inverse pour voir l'histoire se dessiner sous vos yeux incrédules et néanmoins humides d'une reconnaissance que je sens devenir éternelle)
J'avais pensé à un pilotage sur les arrières avec les avants tractant le flotteur, mais il semblerait que le pilotage sur les avants avec les arrières en traction donne de meilleurs résultats, autant sur le plan sécurité - très naturelle - que sur le plan de la stabilité de l'aile, du flotteur, et du bonhomme...
Regardez à partir de 2'00" la vidéo en bas de ce billet, vous aurez immédiatement la révélation comme je l'ai eu moi-même en essai sur le terrain.
En effet, les lignes arrières en traction du flotteur et les lignes avants tout simplement en commande de direction et barre de traction pour le pilote permettent pilotage instinctif et sécurité immédiate. La courte longueur (!) des lignes participe à la facilité d'utilisation.
Sécurité à la fois passive et dynamique : on lâche la barre et l'aile tombe comme une feuille. Par contre en pilotage la traction sur les avants aide le rider à se tenir, un peu comme il le ferait avec un wakeboard.
Bon, cependant dans ce monde et à part vous et moi, rien n'est parfait :
- j'ai essayé avec une aile de kitesurf mais ça ne me satisfait pas, les ailes de kitesurf sont bien trop grandes
- j'ai essayé avec une NasaWing de 4,8m², je me suis fait arracher du sol avant d'avoir pu dire "ouf"
- j'ai essayé avec une aile terrestre à caissons, le bridage trop complexe est totalement rédhibitoire
- j'ai essayé avec un cerf-volant "Révolution", le pilotage reste trop délicat pour cette utilisation
Conclusion : il va me falloir créer un type d'aile spécifique adapté au kailsurf.
Pour répondre à son cahier des charges, cette aile :
- doit être complètement sécurisée sans apprentissage
- doit fonctionner par petit temps comme par grand vent (2 à 6 bf)
- doit fonctionner de manière très stable
- doit fonctionner avec pas ou très peu de brides
- doit fonctionner avec des lignes courtes (~5 mètres)
- doit se piloter très facilement
- doit pouvoir se plier/déplier/déployer très facilement
- doit pouvoir se relancer de l'eau très facilement
- Et d'autres obligations qui ne tarderont pas à se manifester...
Ceci étant dit et quand ce sera fait, le rider-surfer sera un homme heureux.
Sont seul souci en session sera de ne pas trop garder le sourire longtemps pour éviter que trop d'exocets (poissons volants) se collent sur ses dents blanches et parfaites.
Si mon humour ne vous laisse pas indifférent, songez seulement une seconde à ce que pourra vous apporter mon génie ! Bref : restez branchés... ;-)
En attendant le beau d'eau, les essais sur le sable :
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jeudi 25 mars 2010
Premier essai d'aile de kitesurf en 4 lignes avec système "border-choquer"
Après les divers essais de cerfs-volants de toutes sortes (voir ici les vidéos de ces nombreux essais) j'ai acquis une aile de kitesurf relativement courante (une "Bandit" de chez F-One) pour d'une part en apprendre le pilotage, et d'autre part l'utiliser comme prototype pour mes recherches sur le kailsurf.
Je tiens à remercier Ludovic Balanca de MFKite pour ma mise en route sur ce kite et ses conseils précieux.
Après quelques exercices et autres tests avec cette aile, il s'agira de modifier une barre de pilotage "standard" afin de réaliser le système de traction-direction qui s'arrimera sur un flotteur à dérive de type longboard.
L'idée dans une premier temps est d'arrimer les lignes avant au même endroit qu'on le ferait avec le pied de mât de planche à voile, et de piloter uniquement avec les arrières... À suivre !
L'essai d'hier en vidéo et en musique :
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Je tiens à remercier Ludovic Balanca de MFKite pour ma mise en route sur ce kite et ses conseils précieux.
Après quelques exercices et autres tests avec cette aile, il s'agira de modifier une barre de pilotage "standard" afin de réaliser le système de traction-direction qui s'arrimera sur un flotteur à dérive de type longboard.
L'idée dans une premier temps est d'arrimer les lignes avant au même endroit qu'on le ferait avec le pied de mât de planche à voile, et de piloter uniquement avec les arrières... À suivre !
L'essai d'hier en vidéo et en musique :
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jeudi 24 décembre 2009
Mise en production d'une deuxième série de ScullMatix
Moins d'un an après sa mise en disponibilité dans le commerce, le stock de ScullMatix est quasiment épuisé.
Chuck Leinweber m'informe de la commande de fabrication d'une deuxième série de l'appareil.
9 mois seulement après le début de sa commercialisation...
Pourrions nous parler d'un large succès international ? :-D
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Chuck Leinweber m'informe de la commande de fabrication d'une deuxième série de l'appareil.
9 mois seulement après le début de sa commercialisation...
Pourrions nous parler d'un large succès international ? :-D
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mercredi 18 novembre 2009
Comment nettoyer les carènes des traces de patins de remorque (et les protéger) ?
De bon Aloha !
(je suis d'humeur décidément joueuse aujourd'hui ;-)
Trop souvent sur les carènes des bateaux et des flotteurs on voit ce genre de salissures provenant du caoutchouc des patins dits de "protection" :
Oui, l'alcool ménager vous permettra sans aucune abrasion ni modification de la structure moléculaire de vos matières, et avec le minimum d'huile de coude, de nettoyer ce qui doit l'être :
Ensuite bien évidemment il s'agit d'éviter que ça recommence...
Dans notre exemple ici nous montrons des patins de support de flotteurs type SUP, surf, windsurf :
Mais la même technique peut être utilisée sur d'autres types de patins dans la mesure où l'appui se fait à plat et sans frottement.
Rendez-vous dans la grande surface sportive du coin et achetez-y un "tapis fitness". Pour quelques euros vous aurez donc une matière mousse à la fois imperméable, très solide, et très souple. Découpez-la aux ciseaux suivant votre besoin pour recouvrir vos patins :
(je suis d'humeur décidément joueuse aujourd'hui ;-)
Trop souvent sur les carènes des bateaux et des flotteurs on voit ce genre de salissures provenant du caoutchouc des patins dits de "protection" :
En outre quand les carènes sont satinées - ça glisserait mieux grâce à un effet "peau de requin" ? - nettoyer cette noirceur peut relever du parcours du combattant, sachant que tous les produits nettoyants ne sont pas forcément efficaces ou pire, que certains peuvent endommager le revêtement voire même l'intégrité structurale de votre engin.
Bref il ne faut pas utiliser n'importe quoi.
Alors dans le cadre du nauticaerium (j'adore ce nom) nous (je n'adore pas parler de moi à la première personne du pluriel, mais il s'agit simplement de mon épouse et de moi même, c'est-à-dire l'équipe du nauticaerium au grand complet) avons procédé à divers essais de produits - par exemple des nettoyants de cales écologiques, etc. - et nous vous vous livrons ici une solution aussi simple que propre, efficace et peu coûteuse :
Oui, l'alcool ménager vous permettra sans aucune abrasion ni modification de la structure moléculaire de vos matières, et avec le minimum d'huile de coude, de nettoyer ce qui doit l'être :
Dans notre exemple ici nous montrons des patins de support de flotteurs type SUP, surf, windsurf :
Mais la même technique peut être utilisée sur d'autres types de patins dans la mesure où l'appui se fait à plat et sans frottement.
Rendez-vous dans la grande surface sportive du coin et achetez-y un "tapis fitness". Pour quelques euros vous aurez donc une matière mousse à la fois imperméable, très solide, et très souple. Découpez-la aux ciseaux suivant votre besoin pour recouvrir vos patins :
Ensuite dans la grande surface de bricolage de votre même coin, allez acquérir un rouleau d'adhésif "armé toutes réparations" pour quelques autres petits euros, et oeuvrez dans la joie et la bonne humeur :
Et voilà de quoi transporter vos belles carènes dans l'allégresse libérée de tout souci de protection :
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mardi 10 novembre 2009
Comment transporter les longboards et autres flotteurs de SUP ?
ou "La remorque porte-quiver II, le retour"
Après avoir bien bricolé pour le porte-quiver de windsurf à base de la plus petite remorque bagagère existante il faut bien se rendre à l'évidence : jusqu'à 3m de longueur de flotteur ça va, mais pas au delà...
Alors que faire quand on se prend d'engouement pour les longboards et autres SUP ? Bien sûr on pourrait utiliser des barres de toit... mais suivant le véhicule on ne passera plus sous les limiteurs de hauteur, ou pire, on fait prendre des risques à tout le monde sur la route !
Finalement la bonne solution reste simple :
1) on se trouve une bonne occasion de remorque routière pour dériveur :
2) on achète chez Mecanorem (pub gratuite, mais ils le méritent) une paire de "racks porte-planche à voile" non sans avoir pensé à leur demander d'aplatir les portes-mâts :
3) on élimine l'ancien porte-mât et autre berceau devenus inutiles de la remorque pour y placer les racks :
4) on fixe le coffre de toit (le fameux "porte-quiver") boulonné sur les pattes porte-mâts :
5) et on obtient cette remorque stable et assez longue pour voyager avec nos longboards en toute sécurité :
Et après ? On profite de ses longboards (oui, enfin, on essaie ;-) :
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Après avoir bien bricolé pour le porte-quiver de windsurf à base de la plus petite remorque bagagère existante il faut bien se rendre à l'évidence : jusqu'à 3m de longueur de flotteur ça va, mais pas au delà...
Alors que faire quand on se prend d'engouement pour les longboards et autres SUP ? Bien sûr on pourrait utiliser des barres de toit... mais suivant le véhicule on ne passera plus sous les limiteurs de hauteur, ou pire, on fait prendre des risques à tout le monde sur la route !
Finalement la bonne solution reste simple :
1) on se trouve une bonne occasion de remorque routière pour dériveur :
2) on achète chez Mecanorem (pub gratuite, mais ils le méritent) une paire de "racks porte-planche à voile" non sans avoir pensé à leur demander d'aplatir les portes-mâts :
3) on élimine l'ancien porte-mât et autre berceau devenus inutiles de la remorque pour y placer les racks :
4) on fixe le coffre de toit (le fameux "porte-quiver") boulonné sur les pattes porte-mâts :
5) et on obtient cette remorque stable et assez longue pour voyager avec nos longboards en toute sécurité :
Et après ? On profite de ses longboards (oui, enfin, on essaie ;-) :
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vendredi 30 octobre 2009
Chaud, il est chaud mon Ventilo !
Une première journée du Ventilo Show 2009 magique, avec une mer d'huile le matin idéale pour essayer le SUP (Stand Up Paddle) et une petite brise l'après-midi pour essayer les mêmes flotteurs "longboards", mais cette fois avec des gréements de windsurf !
Mon épouse a aussi essayé le SUP à cette occasion, elle a bien aimé, et ça lui a même donné envie de s'essayer au windsurf plus tard !
Pour se résumer, nous avons trouvé les flotteurs de nos rêves chez Starboard : un "Drive" (10'5"x30") pour elle et un "SUPer" (12'6"x30") pour moi. J'y reviendrai dans un prochain billet.
En attendant un petit aperçu des conditions d'essai en ce fameux premier jour du Ventilo Show 2009 :
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Mon épouse a aussi essayé le SUP à cette occasion, elle a bien aimé, et ça lui a même donné envie de s'essayer au windsurf plus tard !
Pour se résumer, nous avons trouvé les flotteurs de nos rêves chez Starboard : un "Drive" (10'5"x30") pour elle et un "SUPer" (12'6"x30") pour moi. J'y reviendrai dans un prochain billet.
En attendant un petit aperçu des conditions d'essai en ce fameux premier jour du Ventilo Show 2009 :
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samedi 26 septembre 2009
"Porte-Quiver" Windsurf
Ceux qui ont suivi mes aventures d'apprenti windsurfer auront constaté - non sans un sens aigu de l'observation - que je transportais ma planche à voile (le flotteur) sur le toit de la voiture comme le montre le début de cette vidéo et la fin d'icelle.
Les mêmes auront certainement conclu au vu de mes nombreux efforts - souvent ridicules mais néanmoins admirables - que malgré mon incompétence pour les choses du sport cette activité physique m'avait conquis, et que donc je comptais bien persévérer.
Dès lors, et au vu du temps nécessaire pour simplement apprendre à tenir debout, on pouvait conclure que j'en mettrais, du temps, et pour longtemps...
Mais quid du transport pratique de tout ce matériel ?
Parce que le beau véhicule de la famille rempli provisoirement de voiles, wishbones et autres mâts et accessoires en tout genre ça peut se tolérer le temps de quelques semaines d'essais, mais mon épouse commençait à me faire gentiment(*) remarquer qu'en ce qui la concerne, voyager tout le temps à l'arrière coincée entre une voile humant bon la mer et un pied de mât non moins odorant... Justement ça ne l'était pas, le pied !
(*) tous ceux qui sont mariés comprendront ;-)
Oui, parce qu'avec une petite session parfois tous les jours, le matériel reste presque à demeure dans la voiture...
Il me fallait donc trouver une solution pratique, légère et relativement peu onéreuse pour transporter tout le matériel de windsurf sans avoir à le déménager à chaque fois.
Comme vous le savez, souvent les idées viennent d'un besoin précis et du manque de moyens pour le combler. L'idée d'un "porte-quiver"(*) n'est pas étrangère à cette règle.
(*) "quiver" est le nom consacré pour parler de l'ensemble du matériel nécessaire à la pratique du windsurf
Un coffre de toit très long est la solution pour le transport des voiles, mâts, wishbones, et flotteur. Mais malheureusement tous les accès aux plages sont maintenant limités en hauteur, et même si mon véhicule n'est pas géant, avec les barres de toit, un coffre de toit et le flotteur par dessus je ne passe plus pour aller à la plage...
Il faut donc le transporter plus bas.
Soit.
Une toute petite remorque bagagère nous amènera une solution simple, pratique et bon marché avec son timon rallongé et des barres porte-tout pour y fixer le coffre de toit :
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Les mêmes auront certainement conclu au vu de mes nombreux efforts - souvent ridicules mais néanmoins admirables - que malgré mon incompétence pour les choses du sport cette activité physique m'avait conquis, et que donc je comptais bien persévérer.
Dès lors, et au vu du temps nécessaire pour simplement apprendre à tenir debout, on pouvait conclure que j'en mettrais, du temps, et pour longtemps...
Mais quid du transport pratique de tout ce matériel ?
Parce que le beau véhicule de la famille rempli provisoirement de voiles, wishbones et autres mâts et accessoires en tout genre ça peut se tolérer le temps de quelques semaines d'essais, mais mon épouse commençait à me faire gentiment(*) remarquer qu'en ce qui la concerne, voyager tout le temps à l'arrière coincée entre une voile humant bon la mer et un pied de mât non moins odorant... Justement ça ne l'était pas, le pied !
(*) tous ceux qui sont mariés comprendront ;-)
Oui, parce qu'avec une petite session parfois tous les jours, le matériel reste presque à demeure dans la voiture...
Il me fallait donc trouver une solution pratique, légère et relativement peu onéreuse pour transporter tout le matériel de windsurf sans avoir à le déménager à chaque fois.
Comme vous le savez, souvent les idées viennent d'un besoin précis et du manque de moyens pour le combler. L'idée d'un "porte-quiver"(*) n'est pas étrangère à cette règle.
(*) "quiver" est le nom consacré pour parler de l'ensemble du matériel nécessaire à la pratique du windsurf
Un coffre de toit très long est la solution pour le transport des voiles, mâts, wishbones, et flotteur. Mais malheureusement tous les accès aux plages sont maintenant limités en hauteur, et même si mon véhicule n'est pas géant, avec les barres de toit, un coffre de toit et le flotteur par dessus je ne passe plus pour aller à la plage...
Il faut donc le transporter plus bas.
Soit.
Une toute petite remorque bagagère nous amènera une solution simple, pratique et bon marché avec son timon rallongé et des barres porte-tout pour y fixer le coffre de toit :
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lundi 31 août 2009
Kite + Sail + Surf = Kailsurf
Et si on inventait le KailSurf ?
Le KiteSurf permet de s'affranchir de l'ensemble gréement relativement encombrant du windsurf.
Le WindSurf et le Surf permettent de flotter même quand il n'y a pas de traction vélique. (et leur variante le SUP permet même de se déplacer sans aucun vent)
le Kite c'est super, mais à cause de sa dangerosité on ne peut plus en faire partout, et les conflits ne sont pas rares entre kiters et autres usagers des plages. Une des raisons de ces problèmes c'est la longueur des lignes, assez difficile à gérer sur une plage encombrée, et qui représentent également un danger non négligeable sur leur passage quand elles sont en tension.
Alors pourquoi ne pas imaginer un engin vélique constitué d'un flotteur de windsurf (ou de SUP) sur lequel on fixerait des lignes courtes (4 mètres) d'une aile de kite via le pied de mât en reprenant le principe des catakites ?
Côté transport et manutention les problèmes seraient pratiquement résolus : petit flotteur et aile dans la voiture comme le kite, gonflage comme le kitesurf, mais départ sans assistance et à l'eau comme le windsurf, au bord ou plus au large (=> plage libérée).
Le kailsurfer serait debout sur son flotteur, et commanderait son aile avec la même technique de barre que le kitesurf, à la différence que la traction serait exercée sur le pied de mât (et pas sur son harnais) et les lignes de direction passeraient dans le pied de mât et seraient ramenées à une barre un peu comme une barre de traction de ski nautique.
La barre lui servirait donc de commande de direction et un bout de tenue serait accroché à son harnais (les lignes de traction de l'aile seraient fixées sur le pied de mât et un bout serait arrimé du pied de mât et accroché à son harnais afin d'offrir le soutient au kailsurfer).
Et comme la longueur des lignes de l'aile serait ramenée à 4 mètres seulement environ, ceci éviterait la manutention compliquée, les risques d'accrochage et de mauvaise maîtrise, les prises de rafales non contrôlées, ça permettrait la mise à l'eau sans décollage au sol, etc.
L'aile de traction serait ramenée au niveau de hauteur approximative d'un mât de windsurf, permettant au moins les mêmes prouesses qu'icelui dans l'absolu, sans même le risque de faire tomber un mât sur la tête de quelqu'un au bord de l'eau...
Qu'en dites-vous ?
Le KiteSurf permet de s'affranchir de l'ensemble gréement relativement encombrant du windsurf.
Le WindSurf et le Surf permettent de flotter même quand il n'y a pas de traction vélique. (et leur variante le SUP permet même de se déplacer sans aucun vent)
le Kite c'est super, mais à cause de sa dangerosité on ne peut plus en faire partout, et les conflits ne sont pas rares entre kiters et autres usagers des plages. Une des raisons de ces problèmes c'est la longueur des lignes, assez difficile à gérer sur une plage encombrée, et qui représentent également un danger non négligeable sur leur passage quand elles sont en tension.
Alors pourquoi ne pas imaginer un engin vélique constitué d'un flotteur de windsurf (ou de SUP) sur lequel on fixerait des lignes courtes (4 mètres) d'une aile de kite via le pied de mât en reprenant le principe des catakites ?
Côté transport et manutention les problèmes seraient pratiquement résolus : petit flotteur et aile dans la voiture comme le kite, gonflage comme le kitesurf, mais départ sans assistance et à l'eau comme le windsurf, au bord ou plus au large (=> plage libérée).
Le kailsurfer serait debout sur son flotteur, et commanderait son aile avec la même technique de barre que le kitesurf, à la différence que la traction serait exercée sur le pied de mât (et pas sur son harnais) et les lignes de direction passeraient dans le pied de mât et seraient ramenées à une barre un peu comme une barre de traction de ski nautique.
La barre lui servirait donc de commande de direction et un bout de tenue serait accroché à son harnais (les lignes de traction de l'aile seraient fixées sur le pied de mât et un bout serait arrimé du pied de mât et accroché à son harnais afin d'offrir le soutient au kailsurfer).
Et comme la longueur des lignes de l'aile serait ramenée à 4 mètres seulement environ, ceci éviterait la manutention compliquée, les risques d'accrochage et de mauvaise maîtrise, les prises de rafales non contrôlées, ça permettrait la mise à l'eau sans décollage au sol, etc.
L'aile de traction serait ramenée au niveau de hauteur approximative d'un mât de windsurf, permettant au moins les mêmes prouesses qu'icelui dans l'absolu, sans même le risque de faire tomber un mât sur la tête de quelqu'un au bord de l'eau...
Qu'en dites-vous ?
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