(Rappel : toutes les news sur ce concept à l'adresse www.velalae.com)
Très content de voir ma théorie concernant la possibilité de remonter au vent avec seulement un aileron et une pagaie comme plans antidérive/gouvernail enfin prouvée !
Toujours le premier prototype d'environ 1m², toujours un tout petit vent (cette fois ~10 km/h), et avec une planche plate de SUP de 11'6'' sans dérive.
Malgré cette très petite taille pour cette voile de test de la Velalae on peut remonter au vent, naviguer au prés, aller contre le vent, aller au vent, to go windward, to go upwind...
Bref, c'est fantastiquement prometteur !
mardi 20 novembre 2012
samedi 17 novembre 2012
La Velalae
Du latin veli (voile) & alae (aile)
Vous pourrez suivre les évolutions de ce concept sur le pointeur www.velalae.com.
Rappelons que mes recherches sur le SUPsailing (www.supsailing.info) tendent à trouver un moyen simple et rapide pour pratiquer la navigation sur une planche par tous les temps : de la pétole en Stand Up Paddle (à la pagaie) jusqu'à des vents de véliplanchistes (à la voile) sans revenir au camp de base pour changer d'équipement.
Après des mâts qui se montent et se démontent facilement sur le flotteur, des voiles qui utilisent la pagaie comme espar et d'autres idées comme l'utilisation d'une aile à caissons, voici le premier (très petit) prototype de Velalae : une aile en arche (comme un kitesurf) montée sur un jonc de fibre.
L'aile est fixée d'un côté à l'avant du flotteur (ce qui correspondrait au point d'amure pour un foc) et de l'autre à l'olive de la pagaie (comme des points de drisse et d'écoute confondus).
La pagaie sert à la fois de mât, de réglage d'écoute, de dérive, et de gouvernail.
La vidéo ci-dessous montre le principe et le fonctionnement.
Ne vous attendez pas à voir des sauts de plus de 10 mètres ni d'autres figures de style : là je n'avais pas le temps ;-)
Et avec un vent force 1 sur une voile de 1m², même si elle est très bien profilée aérodynamiquement, il convient de se réjouir que les conditions permettent uniquement, disons, une mise en place paisible. O:-)
Ceci étant dit, vous verrez que malgré la petite taille de ce premier prototype et ce vent faible le système permet d'avancer suffisamment vite pour diriger l'engin, ce qui augure de très bonnes performances avec une taille de voile adaptée.
Le prochain prototype offrira 3 m² de surface vélique pour un bord d'attaque de 4 mètres de long, soit presque le double d'envergure pour plus du double de surface.
L'image montre le design de la future Velalae #02 :
Ce concept est testé sur des SUP, mais que je vois toutes les raisons possibles pour qu'il puisse être adapté aux bateaux : réduction de la hauteur des mâts et de la gite, simplification du gréement et de la voilure, sécurité grâce à l'incidence automatique du système vélique, etc.
À suivre...
nota bene :
remerciements chaleureux à David Aberdeen, développeur de l'excellent logiciel SurfPlan sans qui ce concept n'aurait pas pu voir le jour !
Vous pourrez suivre les évolutions de ce concept sur le pointeur www.velalae.com.
Rappelons que mes recherches sur le SUPsailing (www.supsailing.info) tendent à trouver un moyen simple et rapide pour pratiquer la navigation sur une planche par tous les temps : de la pétole en Stand Up Paddle (à la pagaie) jusqu'à des vents de véliplanchistes (à la voile) sans revenir au camp de base pour changer d'équipement.
Après des mâts qui se montent et se démontent facilement sur le flotteur, des voiles qui utilisent la pagaie comme espar et d'autres idées comme l'utilisation d'une aile à caissons, voici le premier (très petit) prototype de Velalae : une aile en arche (comme un kitesurf) montée sur un jonc de fibre.
L'aile est fixée d'un côté à l'avant du flotteur (ce qui correspondrait au point d'amure pour un foc) et de l'autre à l'olive de la pagaie (comme des points de drisse et d'écoute confondus).
La pagaie sert à la fois de mât, de réglage d'écoute, de dérive, et de gouvernail.
La vidéo ci-dessous montre le principe et le fonctionnement.
Ne vous attendez pas à voir des sauts de plus de 10 mètres ni d'autres figures de style : là je n'avais pas le temps ;-)
Et avec un vent force 1 sur une voile de 1m², même si elle est très bien profilée aérodynamiquement, il convient de se réjouir que les conditions permettent uniquement, disons, une mise en place paisible. O:-)
Ceci étant dit, vous verrez que malgré la petite taille de ce premier prototype et ce vent faible le système permet d'avancer suffisamment vite pour diriger l'engin, ce qui augure de très bonnes performances avec une taille de voile adaptée.
Le prochain prototype offrira 3 m² de surface vélique pour un bord d'attaque de 4 mètres de long, soit presque le double d'envergure pour plus du double de surface.
L'image montre le design de la future Velalae #02 :
Ce concept est testé sur des SUP, mais que je vois toutes les raisons possibles pour qu'il puisse être adapté aux bateaux : réduction de la hauteur des mâts et de la gite, simplification du gréement et de la voilure, sécurité grâce à l'incidence automatique du système vélique, etc.
À suivre...
nota bene :
remerciements chaleureux à David Aberdeen, développeur de l'excellent logiciel SurfPlan sans qui ce concept n'aurait pas pu voir le jour !
mardi 9 octobre 2012
SUPsailing, ID pour la v3 : essai... Presque ça !
(pour consulter tout l'historique de ce projet d'invention cliquez sur ce lien : www.supsailing.info)
Petit rappel : l'idée principale de ma recherche autour du SUPsailing, c'est de pouvoir dans l'absolu naviguer par tous les temps avec un SUP, soit à la pagaie soit à la voile, en changeant de configuration en pleine navigation suivant la météo sans avoir à rentrer ni transporter du matériel.
Bien sûr l'absolu n'existe pas, mais on peut rêver par exemple simplement pouvoir partir en Stand Up Paddle au petit matin dans la pétole totale (prononcez les deux derniers mots à la suite en boucle et en accélérant pour voir) puis revenir 2 heures plus tard à la voile contre un vent de force 4 ou 5, ce qui n'est pas rare dans le midi : là où la terre est basse la mer est haute.
Vous trouverez dans les articles précédents des films avec des prototypes rigolos de SUPsailing, dont une version 2 d'une voile sur un gréement pliable qui fonctionne assez bien y compris pour remonter au vent, mais qui ne me satisfait pas entièrement à cause d'une partie de montage obligé, et du talent de surfer qu'il faut pour maîtriser l'engin.
Je voudrais dans l'idéal que la voile se monte ou se plie dans un seul geste, et que le système puisse être utilisé par tous ceux qui peuvent faire du SUP, surfers confirmés comme baladeurs enchantés.
Alors m'est venue l'idée d'utiliser une voile taillée comme une aile de traction pour l'efficacité maximale d'un vrai profil aérodynamique, mais directement fixée au SUP pour éviter un bridage encombrant. Pour résumer il s'agit donc de fixer l'aile entre l'avant d'un SUP et la poignée de la pagaie, et de l'utiliser comme une sorte de "mini-génois mobile optimisé".
La première vidéo ci-dessous montre un essai avec une aile de traction à caissons. Loin d'être parfaite par son profil trop plat, son poids trop important et ses fermetures trop nombreuses, elle m'a permis de me faire une première idée de la possibilité du système.
Comme pour les premières versions de SUPsailing, cette vidéo montre l'utilisation de la pagaie à la fois comme gouvernail et plan antidérive, mais cette fois elle est en plus assez libre pour servir en propulsion.
Les fermetures nombreuses lors de mon essai rendant difficile la remontée au vent, j'ai imaginé une "aile-voile" spécialement étudiée pour palier à tous les problèmes que j'ai pu noter avec l'aile à caissons. Vous en avez un aperçu 3D dans la seconde vidéo.
L'aile se présentera comme un kite à boudins gonflables monopeau sans bridage et sans boudins. Le bord d'attaque sera maintenu ouvert par une tige souple en fibre de verre et permettra d'éviter la fermeture lors des déventes et/ou des turbulences.
L'ensemble permettra de naviguer aux mêmes allures qu'un voilier, y compris de remonter au vent (naviguer au près), et pourra se déplier/replier très facilement et rapidement d'un geste en navigation.
Si les résultats pour le SUP sont à la hauteur de mes espoirs les plus fous, j'envisagerai également d'adapter l'idée sur d'autres engins flottants et roulants comme des dériveurs et autres voiliers (on enlève toutes les voiles et on remplace le génois par une "KiteSail"), des skateboards et autres mountainboards munis de "big sticks" (sorte de pagaie pour la terre ferme), etc.
L'essai avec l'aile à caissons :
La visualisation en révolution 3D du prototype de SUPsailing v3 envisagé :
Petit rappel : l'idée principale de ma recherche autour du SUPsailing, c'est de pouvoir dans l'absolu naviguer par tous les temps avec un SUP, soit à la pagaie soit à la voile, en changeant de configuration en pleine navigation suivant la météo sans avoir à rentrer ni transporter du matériel.
Bien sûr l'absolu n'existe pas, mais on peut rêver par exemple simplement pouvoir partir en Stand Up Paddle au petit matin dans la pétole totale (prononcez les deux derniers mots à la suite en boucle et en accélérant pour voir) puis revenir 2 heures plus tard à la voile contre un vent de force 4 ou 5, ce qui n'est pas rare dans le midi : là où la terre est basse la mer est haute.
Vous trouverez dans les articles précédents des films avec des prototypes rigolos de SUPsailing, dont une version 2 d'une voile sur un gréement pliable qui fonctionne assez bien y compris pour remonter au vent, mais qui ne me satisfait pas entièrement à cause d'une partie de montage obligé, et du talent de surfer qu'il faut pour maîtriser l'engin.
Je voudrais dans l'idéal que la voile se monte ou se plie dans un seul geste, et que le système puisse être utilisé par tous ceux qui peuvent faire du SUP, surfers confirmés comme baladeurs enchantés.
Alors m'est venue l'idée d'utiliser une voile taillée comme une aile de traction pour l'efficacité maximale d'un vrai profil aérodynamique, mais directement fixée au SUP pour éviter un bridage encombrant. Pour résumer il s'agit donc de fixer l'aile entre l'avant d'un SUP et la poignée de la pagaie, et de l'utiliser comme une sorte de "mini-génois mobile optimisé".
La première vidéo ci-dessous montre un essai avec une aile de traction à caissons. Loin d'être parfaite par son profil trop plat, son poids trop important et ses fermetures trop nombreuses, elle m'a permis de me faire une première idée de la possibilité du système.
Comme pour les premières versions de SUPsailing, cette vidéo montre l'utilisation de la pagaie à la fois comme gouvernail et plan antidérive, mais cette fois elle est en plus assez libre pour servir en propulsion.
Les fermetures nombreuses lors de mon essai rendant difficile la remontée au vent, j'ai imaginé une "aile-voile" spécialement étudiée pour palier à tous les problèmes que j'ai pu noter avec l'aile à caissons. Vous en avez un aperçu 3D dans la seconde vidéo.
L'aile se présentera comme un kite à boudins gonflables monopeau sans bridage et sans boudins. Le bord d'attaque sera maintenu ouvert par une tige souple en fibre de verre et permettra d'éviter la fermeture lors des déventes et/ou des turbulences.
L'ensemble permettra de naviguer aux mêmes allures qu'un voilier, y compris de remonter au vent (naviguer au près), et pourra se déplier/replier très facilement et rapidement d'un geste en navigation.
Si les résultats pour le SUP sont à la hauteur de mes espoirs les plus fous, j'envisagerai également d'adapter l'idée sur d'autres engins flottants et roulants comme des dériveurs et autres voiliers (on enlève toutes les voiles et on remplace le génois par une "KiteSail"), des skateboards et autres mountainboards munis de "big sticks" (sorte de pagaie pour la terre ferme), etc.
L'essai avec l'aile à caissons :
La visualisation en révolution 3D du prototype de SUPsailing v3 envisagé :
vendredi 10 août 2012
dimanche 13 mai 2012
Les dessous ? Chic !
Deux plans-séquences du dessous de la carène d'un flotteur de Stand Up Paddle (SUP) pendant la rame.
Le premier caméra sur le devant filmant vers l'arrière, le second caméra sur l'arrière filmant vers l'avant...
On voit clairement que la carène est balayée par un tapis de bulles, formées par les remous de la pénétration de la carène sur l'interface eau/air à la surface de l'eau.
Accessoirement on distingue aussi les vortex créés par la pale de la pagaie.
Le premier caméra sur le devant filmant vers l'arrière, le second caméra sur l'arrière filmant vers l'avant...
On voit clairement que la carène est balayée par un tapis de bulles, formées par les remous de la pénétration de la carène sur l'interface eau/air à la surface de l'eau.
Accessoirement on distingue aussi les vortex créés par la pale de la pagaie.
vendredi 4 mai 2012
Et les ailes ailées zélées ?
Toujours pour suivre et poursuivre les travaux sur les possibilités d'embarquement de gréement léger, voici quelques essais de pilotage et de comportement d'une aile marine, d'une aile à caissons, et d'une aile mono-peau sans les lignes et avec une pagaie en guise de barre de pilotage type "2 lignes".
dimanche 29 avril 2012
Comment retourner un bateau tout seul ?
Le retournement d'un bateau voile-aviron en bois de près de 5m et d'environ 350 kg peut être problématique pour une personne seule dans son atelier un jour férié quand tous les copains sont sur l'eau (ce qu'ils vous ont fait croire via facebook) ou chez leur belle-mère (ce qu'ils n'oseront jamais vous avouer).
Aidé de 2 grues d'atelier et une poulie, vous avez donc résolu de procéder à la manipulation sans plus attendre, car vous avez envie de rejoindre vos copains sur l'eau au plus vite (pas chez la belle-mère bien sûr, mais ça on n'en parle pas parce que vous ne le savez pas parce qu'ils ne vous l'ont pas dit... Vous suivez ?).
Bref, vous vous demandez comment vous y prendre ?
Le nauticaerium vous propose cette petite vidéo :
Aidé de 2 grues d'atelier et une poulie, vous avez donc résolu de procéder à la manipulation sans plus attendre, car vous avez envie de rejoindre vos copains sur l'eau au plus vite (pas chez la belle-mère bien sûr, mais ça on n'en parle pas parce que vous ne le savez pas parce qu'ils ne vous l'ont pas dit... Vous suivez ?).
Bref, vous vous demandez comment vous y prendre ?
Le nauticaerium vous propose cette petite vidéo :
vendredi 30 mars 2012
SUPSail v2, le premier prototype.
(comme d'habitude, un lien spécial pour obtenir les dernières infos sur cette rubrique "SUP sailing" du blog du nauticaerium : www.SUPsailing.info )
La pagaie toujours en guise de bôme comme pour la version 1, mais l'inspiration du gréement s'oriente sur une voile hawaïenne, sorte de gréement en Pince de Crabe amélioré.
L'avantage est multiple : on se passe d'un système de préemption biface (exemple : pas besoin de wishbone), on a un gréement à géométrie variable, on bénéficie d'un creux pour la puissance avec une voile plate, etc.
Ce premier prototype de SUPsail 2ème version présente une surface de 2,30 m² un peu trop petite.
Le prochain offrira une voile hawaïenne de 3m², ce qui vu le rendement supérieur de ce gréement devrait offrir assez de puissance pour naviguer dans les petits airs comme dans les gros. De quoi en prendre des grands ! (airs ;-)
La pagaie toujours en guise de bôme comme pour la version 1, mais l'inspiration du gréement s'oriente sur une voile hawaïenne, sorte de gréement en Pince de Crabe amélioré.
L'avantage est multiple : on se passe d'un système de préemption biface (exemple : pas besoin de wishbone), on a un gréement à géométrie variable, on bénéficie d'un creux pour la puissance avec une voile plate, etc.
Ce premier prototype de SUPsail 2ème version présente une surface de 2,30 m² un peu trop petite.
Le prochain offrira une voile hawaïenne de 3m², ce qui vu le rendement supérieur de ce gréement devrait offrir assez de puissance pour naviguer dans les petits airs comme dans les gros. De quoi en prendre des grands ! (airs ;-)
mardi 28 février 2012
Ogive SUP Design v3.0...
... Ou le Design Open Source.
Mon concept très spécial de Stand Up Paddle de type "Ogive" arrive à maturité avec cette troisième version.
Une carène SUP planante ultra rapide, capable de supporter les plus lourds comme les plus légers sans être ni trop longue ni trop large, en offrant une plateforme SUP comme PAV (Planche À Voile) aussi stable qu'un paquebot pas que belle : révolutionnaire, aussi !
C'est en constatant ses nombreuses qualités que l'évidence m'est apparue (un soir je l'ai même entendue aussi, mais il était très tard alors ça n'est pas racontable) :
Ce progrès doit pouvoir profiter au plus grand nombre.
C'est pour cette raison que j'ai décidé d'offrir les plans et toutes les idées rassemblées dans cet engin à tout le monde.
(La seule obligation est la mention "Designed by Guy Capra" sur chaque flotteur Ogive complet ou "[names of the items used] designed by Guy Capra" selon le cas.)
Bien sûr si vous êtes - ou devenez - une grande marque, quand vous gagnerez beaucoup d'argent avec mon concept il me sera très agréable de recevoir officiellement votre support pour m'aider à continuer ma mission dans ce nauticaerium, mais cela ne vous sera même pas imposé. Disons juste que ça me ferait tellement plaisir... O:-)
Bon, trève de baratin : pour obtenir les plans, envoyez un mél sur ogive (à) alomphega.com .
Vous recevrez les fichiers électroniques ad hoc au format BoardCAD (logiciel Open Source) et AKUShaper (logiciel gratuit) en ce qui concerne la conception 3D, et les contours, couples et profils dessinés sur des grilles de 1cm X 1cm dans des fichiers PDF qu'il vous suffira d'imprimer pour obtenir les plans sur papier.
Vous aurez aussi une notice explicative pour tous les appendices comme les ailerons en tandem, la poignée de transport externe, la valve de décompression automatique, le rail de pied de mât, etc.
Mon concept très spécial de Stand Up Paddle de type "Ogive" arrive à maturité avec cette troisième version.
Une carène SUP planante ultra rapide, capable de supporter les plus lourds comme les plus légers sans être ni trop longue ni trop large, en offrant une plateforme SUP comme PAV (Planche À Voile) aussi stable qu'un paquebot pas que belle : révolutionnaire, aussi !
Ce progrès doit pouvoir profiter au plus grand nombre.
C'est pour cette raison que j'ai décidé d'offrir les plans et toutes les idées rassemblées dans cet engin à tout le monde.
(La seule obligation est la mention "Designed by Guy Capra" sur chaque flotteur Ogive complet ou "[names of the items used] designed by Guy Capra" selon le cas.)
Bon, trève de baratin : pour obtenir les plans, envoyez un mél sur ogive (à) alomphega.com .
Vous recevrez les fichiers électroniques ad hoc au format BoardCAD (logiciel Open Source) et AKUShaper (logiciel gratuit) en ce qui concerne la conception 3D, et les contours, couples et profils dessinés sur des grilles de 1cm X 1cm dans des fichiers PDF qu'il vous suffira d'imprimer pour obtenir les plans sur papier.
Vous aurez aussi une notice explicative pour tous les appendices comme les ailerons en tandem, la poignée de transport externe, la valve de décompression automatique, le rail de pied de mât, etc.
Pensez à faire des vidéos de vos futurs essais !
mardi 13 septembre 2011
Prototype #1 Ogive SUP
Les bonnes idées validées :
- L'outline en "ogive" perfore l'eau très efficacement sans trop de remous sur le plat
- le rail "sourire" fait son office de soulèvement de carène pour un départ au planing
- le nez en "ogive" perce le clapot et en ressort facilement, laissant le flotteur avancer horizontalement
- l'arrière tronqué dans la continuité de l'ogive permet la prolongation d'une carène "virtuelle"
- les doubles-ailerons alignés font leur office en réduisant la traînée par rapport à leur surface
Les fausses bonnes idées invalidées :
- l'arrière sans rocker provoque des remous sur le départ du sillage
- le rail en "sourire" tout le long de la carène induit une instabilité à l'arrêt et en petite vitesse
Les corrections et évolutions considérées pour le design du prototype #2 :
- un rocker sur l'arrière, de manière à permettre la remontée régulière de l'écoulement pour éviter les remous
- le rail en "sourire" constituera un bouchain évolutif : support de lancement au planing en début de carène, il deviendra bouchain vif en allant sur l'arrière pour plus de stabilité à l'arrêt, constituant ainsi un bouchain évolutif sur toute la carène (mais dans le sens inverse de ce qu'on a l'habitude de voir sur les voiliers à coque planante)
- l'arrière sera biseauté pour essayer le principe du DOL-Fin directement intégré dans la forme de la carène
samedi 3 septembre 2011
Si tu n'es "pagaie", voici du "bôme" au cœur !
Je vous accorde que ce titre tout en jeux de mots subtils et délicats peut paraître abscons, mais je n'ai pas pu résister.
Mes essais sur l'idée du SUPsailing m'ont amené à conclure que la pagaie utilisée en espar principal (en mât) ne permet pas suffisamment de surface de voile pour une navigation satisfaisante.
Rappel :
L'idée principale du SUPsailing est de partir à la pagaie en Stand Up Paddle normalement, tout en pouvant gréer une voile sans revenir à terre (vent imprévu qui se lève, envie subite de faire de la planche à voile, etc.).
Ou le contraire : partir à la voile par exemple pour remonter au vent et ensuite ranger le gréement pour s'offrir un downwind en SUPsurfing endiablé...
La recherche n°1 reste donc d'embarquer sur le SUP le moins possible de matériel supplémentaire.
On a déjà un flotteur et une pagaie.
On embarque donc en plus une voile et un mât qui devront pouvoir se plier facilement et se faire oublier.
Pour éviter d'embarquer un wishbone toujours très encombrant et se retrouver avec une pagaie à fixer pour pouvoir naviguer à la voile, cette dernière sera utilisée comme bôme.
La voile type "planche à voile" sera donc adaptée en conséquence : au lieu d'avoir un wishbone qui laisse passer la voile, on aura une voile qui laisse passer la pagaie-bôme !
Le premier prototype de voile "SUPsail" aura un fourreau de mât pour un petit mât RDM de 3,70m, un fourreau pour tenir l'olive de la pagaie contre le mât sans l'abîmer, et un dernier fourreau réglable par velcro avec une sangle de latte pour étarquer sans effort le point d'écoute sur la pale de la pagaie.
En mode SUP le mât est couché sur l'avant du pont en deux parties, la voile enroulée dessus.
Pour passer en mode voile (sailing) :
Le premier dessin du premier prototype de voile :
Mes essais sur l'idée du SUPsailing m'ont amené à conclure que la pagaie utilisée en espar principal (en mât) ne permet pas suffisamment de surface de voile pour une navigation satisfaisante.
Rappel :
L'idée principale du SUPsailing est de partir à la pagaie en Stand Up Paddle normalement, tout en pouvant gréer une voile sans revenir à terre (vent imprévu qui se lève, envie subite de faire de la planche à voile, etc.).
Ou le contraire : partir à la voile par exemple pour remonter au vent et ensuite ranger le gréement pour s'offrir un downwind en SUPsurfing endiablé...
La recherche n°1 reste donc d'embarquer sur le SUP le moins possible de matériel supplémentaire.
On a déjà un flotteur et une pagaie.
On embarque donc en plus une voile et un mât qui devront pouvoir se plier facilement et se faire oublier.
Pour éviter d'embarquer un wishbone toujours très encombrant et se retrouver avec une pagaie à fixer pour pouvoir naviguer à la voile, cette dernière sera utilisée comme bôme.
La voile type "planche à voile" sera donc adaptée en conséquence : au lieu d'avoir un wishbone qui laisse passer la voile, on aura une voile qui laisse passer la pagaie-bôme !
Le premier prototype de voile "SUPsail" aura un fourreau de mât pour un petit mât RDM de 3,70m, un fourreau pour tenir l'olive de la pagaie contre le mât sans l'abîmer, et un dernier fourreau réglable par velcro avec une sangle de latte pour étarquer sans effort le point d'écoute sur la pale de la pagaie.
En mode SUP le mât est couché sur l'avant du pont en deux parties, la voile enroulée dessus.
Pour passer en mode voile (sailing) :
- on connecte ses deux parties et on enfile le mât dans le fourreau de la voile,
- on enfile la pagaie dans ses fourreaux d'olive et de pale et on l'étarque avec sa sangle de latte,
- on pose le tout sur une sphère fixée sur le pont (pas de pieds de mât, des systèmes simples de fixations sans modification des SUPs sont prévus).
Le premier dessin du premier prototype de voile :
Bientôt j'espère les vidéos...
vendredi 19 août 2011
Et ma pagaie, elle pagaie bien ma pagaie ?
Différents essais de tailles de pales.
Pas d'avis sur les types de pagaies si ce n'est une évidence : plus c'est léger, moins c'est lourd ! ;-)
Beaucoup de subjectif évidemment, mais quand même un compteur pour montrer le plus objectivement possible les différences de rendements sur un parcours réduit pour limiter les distorsions dues à la fatigue.
Les plus petites pales donnent l'impression de créer plus de turbulences que de réellement accrocher dans l'eau. Mais encore une fois ceci est seulement du ressenti.
Au niveau mesuré, entre une pagaie de 7,8" et une autre plus grande de ~8.5" la différence de rendement est d'1 seconde sur un parcours d'une dizaine de secondes... Soit environ 10% !
Pas d'avis sur les types de pagaies si ce n'est une évidence : plus c'est léger, moins c'est lourd ! ;-)
Beaucoup de subjectif évidemment, mais quand même un compteur pour montrer le plus objectivement possible les différences de rendements sur un parcours réduit pour limiter les distorsions dues à la fatigue.
Les plus petites pales donnent l'impression de créer plus de turbulences que de réellement accrocher dans l'eau. Mais encore une fois ceci est seulement du ressenti.
Au niveau mesuré, entre une pagaie de 7,8" et une autre plus grande de ~8.5" la différence de rendement est d'1 seconde sur un parcours d'une dizaine de secondes... Soit environ 10% !
Inscription à :
Articles (Atom)